Comme tous les "bons citoyens" honnêtes, j'ai réagi bêtement à chaud et sans avoir tous les éléments en main au sujet de la prétendue pédophilie de notre ministre de la culture, me fiant uniquement aux assertions de Marine le Pen.
Après examen plus attentif de l'affaire et après avoir écouté les arguments des défenseurs du présumé coupable, je me suis aperçu que j'étais tombé dans le piège des apparences.
Le seul reproche que l'on peut faire à monsieur Mitterrand c'est d'avoir pratiqué le tourisme sexuel, non la pédophilie. Et encore, c'est un reproche personnel et non judiciaire.
Cessons l'hypocrisie ! Certes il est immoral de s'adonner au tourisme sexuel, pour autant ce n'est pas illégal.
Tant qu'il n'y a pas de mineurs impliqués.
Je rappelle que la loi française n'interdit nullement de pratiquer le tourisme sexuel pourvu que les prostitués ne soient pas des mineurs.
Le ministre est un citoyen comme les autres, il a le droit d'exercer sa liberté. Jusqu'à preuve du contraire, il n'a rien commis d'illégal.
Il a certes commis des choses hautement condamnables mais "seulement" sur le plan moral, non sur le plan légal.
Puisque la morale de la république et de ses défenseurs se borne aux termes de la loi, pourquoi les citoyens font-ils tant d'histoire pour si peu de choses ?
En république on peut faire tout ce qu'on veut tant que cela n'enfreint pas la loi : avorter, faire commerce de la pornographie, tuer son semblable sous uniforme, fabriquer et vendre des bombes à des belligérants, etc...
De deux choses l'une : ou bien on change les lois en les mettant en accord avec la morale, ou bien on joue le jeu de la sainte république et on la ferme !
J'insiste : du strict point de vue des lois républicaines, on n'a rien à reprocher au ministre de la culture.
Tant qu'il ne viole pas les lois, sa vie privée le regarde.
On se scandalise hypocritement des moeurs du ministre mais à côté on trouve normal d'avorter, de vendre des armes, de faire du business avec la pornographique...
Sous prétexte que c'est légal.
Avant de faire les écoeurés face aux moeurs de Frédéric Mitterrand, les honnêtes citoyens rangés -avec leur si belle morale républicaine- feraient bien de balayer devant la porte de leur conscience !
Raphaël Zacharie de IZARRA
La république nous demande d'adopter avant toute chose sa "morale". Ensuite le citoyen fait ce qu'il veux tant que cela ne sort pas du cadre des lois républicaines. C'est le principe même de la république. La morale des individus n'a rien à voir avec les lois temporelles de notre société.
Contrairement aux régimes islamiques, dans notre démocratie nous avons le droit d'être immoral, abject, immonde, criminel tant que nos actes sont en conformité avec les règles républicaines.
Par exemple vous avez parfaitement le droit de vous enrichir en faisant du commerce avec la pornographie, en fabriquant des armes et en les vendant à des belligérants. Dans ce dernier cas vous serez même choyé par l'Etat. Vous avez également le droit d'avorter. La loi le permet. Il ne vous est pas interdit d'appartenir à des sectes sataniques tant que vous restez dans les rails de la loi. La société ne peut pas non plus vous reprocher de cultiver du tabac. Or toutes ces activités et adhésions parfaitement licites n'en sont pas moins fondamentalement criminelles.
C'est cette hypocrisie que je dénonce à travers mon article.
Dans un premier temps, égaré par les fumées du discours général sans nuance j'ai éprouvé un profond dégoût envers monsieur Mitterrand que je pensais -à tort- être un libidineux pédophile. Or après examen de l'affaire il se trouve qu'il ne s'est pas rendu coupable de ce crime.
Par ailleurs j'admire le courage et la combattivité dont il fait preuve dans sa défense.
Et je ne trouve pas déplacé qu'il se montre courageux et combattif dans la mesure où il n'est pas pédophile. Un innocent a le devoir de se défendre.
Maintenant, s'il s'avère que le ministre s'est réellement rendu coupable de pédophilie, alors croyez bien que je serai le premier à le condamner et ne lui trouverai aucune circonstance atténuante. Et cette fois toute argumentation de sa part pour justifier ses actes serait indécente.
Mais au fait, ne nous éloignons-nous pas de l'essentiel dans cette affaire ?
Qu'est-ce qu'on demande avant tout à un ministre de la république ? De produire un certificat de virginité ou bien d'être tout simplement compétent dans son ministère ?
C'est dans une monarchie que l'on exige des hauts placés des preuves de moralité, pas dans un système qui se veut efficace, égalitaire, laïc.
Tant que le ministère de la culture fonctionne bien, c'est le principal et c'est tout ce qu'on demande à un ministre responsable de son ministère. Le ministre n'est qu'un serviteur de l'Etat, un employé de la république comme un autre. Pourquoi devrait-on exiger de lui un comportement plus exemplaire que les autres ?
Parce qu'il est ministre ? Un ministre est un citoyen ordinaire, en vertu du principe républicain de l'égalité de tous face à la loi.
Nous ne sommes pas dans une monarchie : théoriquement l'accession au poste de ministre de Frédéric Mitterrand n'est pas un privilège, pas un cadeau, pas une récompense.
Juste un fait.
Nous sommes en impartiale république, je le rappelle.
Raphaël Zacharie de IZARRAS’il s’avère que le ministre est réellement coupable, je serai le premier à le condamner.
Mon avis sur cette affaire n’est pas définitif. Il évolue et se nuance avec les nouveaux arguments qui arrivent au fur et à mesure du débat. Et je me donne d’ailleurs le droit de me tromper. C’est ce qui fait l’intérêt de tout débat. Je ne suis pas entré dans ce débat pour avoir raison mais pour faire triompher la vérité, quelle qu’elle soit.
Mes positions sont susceptibles de changer selon les nouveaux éléments.
Je suis ni pro-Mitterrand ni anti-Mitterrand.
Je suis juste « pro-réflexion », à la seule recherche de la vérité.
Je n’ai aucun intérêt social ou personnel à défendre des criminels. Au contraire, j’ai tout intérêt à promouvoir la vertu.
S’il faut condamner Mitterrand pour ses actes, je le ferai sans aucun problème et avec virulence.
Mais je veux des preuves.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Après examen plus attentif de l'affaire et après avoir écouté les arguments des défenseurs du présumé coupable, je me suis aperçu que j'étais tombé dans le piège des apparences.
Le seul reproche que l'on peut faire à monsieur Mitterrand c'est d'avoir pratiqué le tourisme sexuel, non la pédophilie. Et encore, c'est un reproche personnel et non judiciaire.
Cessons l'hypocrisie ! Certes il est immoral de s'adonner au tourisme sexuel, pour autant ce n'est pas illégal.
Tant qu'il n'y a pas de mineurs impliqués.
Je rappelle que la loi française n'interdit nullement de pratiquer le tourisme sexuel pourvu que les prostitués ne soient pas des mineurs.
Le ministre est un citoyen comme les autres, il a le droit d'exercer sa liberté. Jusqu'à preuve du contraire, il n'a rien commis d'illégal.
Il a certes commis des choses hautement condamnables mais "seulement" sur le plan moral, non sur le plan légal.
Puisque la morale de la république et de ses défenseurs se borne aux termes de la loi, pourquoi les citoyens font-ils tant d'histoire pour si peu de choses ?
En république on peut faire tout ce qu'on veut tant que cela n'enfreint pas la loi : avorter, faire commerce de la pornographie, tuer son semblable sous uniforme, fabriquer et vendre des bombes à des belligérants, etc...
De deux choses l'une : ou bien on change les lois en les mettant en accord avec la morale, ou bien on joue le jeu de la sainte république et on la ferme !
J'insiste : du strict point de vue des lois républicaines, on n'a rien à reprocher au ministre de la culture.
Tant qu'il ne viole pas les lois, sa vie privée le regarde.
On se scandalise hypocritement des moeurs du ministre mais à côté on trouve normal d'avorter, de vendre des armes, de faire du business avec la pornographique...
Sous prétexte que c'est légal.
Avant de faire les écoeurés face aux moeurs de Frédéric Mitterrand, les honnêtes citoyens rangés -avec leur si belle morale républicaine- feraient bien de balayer devant la porte de leur conscience !
Raphaël Zacharie de IZARRA
Réponse faite à un détracteur me reprochant ma prise de position :
La république nous demande d'adopter avant toute chose sa "morale". Ensuite le citoyen fait ce qu'il veux tant que cela ne sort pas du cadre des lois républicaines. C'est le principe même de la république. La morale des individus n'a rien à voir avec les lois temporelles de notre société.
Contrairement aux régimes islamiques, dans notre démocratie nous avons le droit d'être immoral, abject, immonde, criminel tant que nos actes sont en conformité avec les règles républicaines.
Par exemple vous avez parfaitement le droit de vous enrichir en faisant du commerce avec la pornographie, en fabriquant des armes et en les vendant à des belligérants. Dans ce dernier cas vous serez même choyé par l'Etat. Vous avez également le droit d'avorter. La loi le permet. Il ne vous est pas interdit d'appartenir à des sectes sataniques tant que vous restez dans les rails de la loi. La société ne peut pas non plus vous reprocher de cultiver du tabac. Or toutes ces activités et adhésions parfaitement licites n'en sont pas moins fondamentalement criminelles.
C'est cette hypocrisie que je dénonce à travers mon article.
Dans un premier temps, égaré par les fumées du discours général sans nuance j'ai éprouvé un profond dégoût envers monsieur Mitterrand que je pensais -à tort- être un libidineux pédophile. Or après examen de l'affaire il se trouve qu'il ne s'est pas rendu coupable de ce crime.
Par ailleurs j'admire le courage et la combattivité dont il fait preuve dans sa défense.
Et je ne trouve pas déplacé qu'il se montre courageux et combattif dans la mesure où il n'est pas pédophile. Un innocent a le devoir de se défendre.
Maintenant, s'il s'avère que le ministre s'est réellement rendu coupable de pédophilie, alors croyez bien que je serai le premier à le condamner et ne lui trouverai aucune circonstance atténuante. Et cette fois toute argumentation de sa part pour justifier ses actes serait indécente.
Mais au fait, ne nous éloignons-nous pas de l'essentiel dans cette affaire ?
Qu'est-ce qu'on demande avant tout à un ministre de la république ? De produire un certificat de virginité ou bien d'être tout simplement compétent dans son ministère ?
C'est dans une monarchie que l'on exige des hauts placés des preuves de moralité, pas dans un système qui se veut efficace, égalitaire, laïc.
Tant que le ministère de la culture fonctionne bien, c'est le principal et c'est tout ce qu'on demande à un ministre responsable de son ministère. Le ministre n'est qu'un serviteur de l'Etat, un employé de la république comme un autre. Pourquoi devrait-on exiger de lui un comportement plus exemplaire que les autres ?
Parce qu'il est ministre ? Un ministre est un citoyen ordinaire, en vertu du principe républicain de l'égalité de tous face à la loi.
Nous ne sommes pas dans une monarchie : théoriquement l'accession au poste de ministre de Frédéric Mitterrand n'est pas un privilège, pas un cadeau, pas une récompense.
Juste un fait.
Nous sommes en impartiale république, je le rappelle.
Raphaël Zacharie de IZARRAS’il s’avère que le ministre est réellement coupable, je serai le premier à le condamner.
Mon avis sur cette affaire n’est pas définitif. Il évolue et se nuance avec les nouveaux arguments qui arrivent au fur et à mesure du débat. Et je me donne d’ailleurs le droit de me tromper. C’est ce qui fait l’intérêt de tout débat. Je ne suis pas entré dans ce débat pour avoir raison mais pour faire triompher la vérité, quelle qu’elle soit.
Mes positions sont susceptibles de changer selon les nouveaux éléments.
Je suis ni pro-Mitterrand ni anti-Mitterrand.
Je suis juste « pro-réflexion », à la seule recherche de la vérité.
Je n’ai aucun intérêt social ou personnel à défendre des criminels. Au contraire, j’ai tout intérêt à promouvoir la vertu.
S’il faut condamner Mitterrand pour ses actes, je le ferai sans aucun problème et avec virulence.
Mais je veux des preuves.
Raphaël Zacharie de IZARRA
"Cessons l'hypocrisie !"
RépondreSupprimerOù se trouve cette hypocrisie ? Je n'en vois pas...à moins que j'ignore le sens du mot. Vous essayez de dire "faute avouée, à moitié pardonnée ?" Formule usée jusqu'à la corde par les adeptes du "décomplexé" ?
Le moins qu'on puisse dire, cette façon de raisonner est infantile : "les autres le font, pourquoi pas moi ?"
Est-ce que les autres le font déjà ?
Ne demande-t-on pas à un ministre un peu plus que le strict minimum légal ? Un exemple moral est trop demander ? S'il n y a pas faute, pourquoi doit-on se justifier de ses turpitudes, lever la voix, voir s'indigner en gavant le malheureux téléspectateur d'histoires glauques à l'heure du repas ?
La fidélité mal placée envers ses amis personnelles conduira NS à sa perte !
"S'il n y a pas faute, pourquoi doit-on se justifier de ses turpitudes, lever la voix, voir s'indigner en gavant le malheureux téléspectateur d'histoires glauques à l'heure du repas ?"
RépondreSupprimerIl faudrait vivre avec votre époque...
La tant désirée liberté d'expression à offert à tout un chacun la possibilité d'exprimer son opinion sans crainte de représailles. Même celui qui n'a rien à dire, trouve des mots à sortir de sa bouche . Quant à celui celle qui croit détenir LA vérité, il crie plus fort que les autres. Déblatère, polémique, riposte, rétorque, argumente à n'en plus finir. Ajoutez-lui son répondant, voire ses répondants, multiplier le tout par X français ou "croisés" et vous obtiendrez un tumulte diurne du pire effet. Un vacarme incohérent, assourdissant. Une confusion tueuse de LA vérité...
Tout comme le financier,qui désire augmenter sa richesse, le parleur ne sait pas s'auto-gérer.
TOUT LE MONDE S' EXPRIME ! je ne m'en sors pas indemne, le fait de vous répondre.
Les coupables, bien qu'ils soient en liberté, ont toujours été plus nombreux que les innocents. Je n'invente rien ! Le mal toujours plus puissant que le bien.
Si bien qu'à ce jour, grâce à cette tant désirée liberté d'expression, c'est l'innocent qui est obligé d'élever la voix s'il veut se faire entendre.
Mon com n'évoque pas le cas de FM. Je m'en voudrais de servir de relais à une corporation (médias en tous genres) que je vitupère la plupart du temps. Je manquerai d'honnêteté envers moi-même si je rejoignais votre troupeau (ainsi que celui de Raphaël) de détracteurs et de défenseurs de FM.
Vous jouez le jeu des médias. Grand bien vous fasse ! Mais ne venez pas vous plaindre d'eux par la suite...
"Tant qu'il ne viole pas les lois, sa vie privée le regarde."
RépondreSupprimerJustement, si sa vie privée le regarde, il n'était pas obligé d'en faire un bouquin. S'il n'avait pas écrit un récit autobiographique (il s'en défend mollement maintenant, mais à l'époque de la sortie de son bouquin en 2005 il disait clairement que c'était autobio -voir vidéo émission de Fogiel à ce sujet), il n'y aurait pas la polémique actuelle puisque personne ne serait au courant. Un peu de cohérence : il déballe son intimité, et il vient dire après que sa vie privée le regarde ??? Il a révélé des épisodes glauques de sa vie, c'était son choix à l'époque, qu'il en assume les conséquences. Et qu'il se réjouisse plutôt de la montée des ventes de son livre, il l'a fait pour ça non, pour qu'il soit lu ? et on a pas le droit de commenter ? Faut rien dire parce que c'est le ministre de l'
An Culture et y a que lui qui a le droit d'évoquer ses turpitudes ?? Franchement, qu'il aille plutôt faire du culturisme avec ses "boxeurs thaïlandais de 40ans", parce que si c'est ça la culture, faut pas s'étonner après qu'elle produise des générations de plus en plus incultes et dépourvues de sens moral...
Au passage, si c'est pour se faire enculturer par des boxeurs thaï de 40 ans, je suis sûre qu'on peut en trouver dans les bars homos du Marais, pas besoin d'aller en Thaïlande, il a tout sur place, à portée de Ministère, il peut aller faire son touriste sexuel tous les jours s'il veut. Mais c'est peut-être la misère extrême qui le fait bander, pervers pépère ? pas assez glauque pour son âme tordue les back-rooms du Marais (ce type ne respire pas la joie de vivre, je vous le dis)
RépondreSupprimerPour l'admirateur de Brassens :
RépondreSupprimerTrompettes de la renommée
Vous êtes bien mal embouchées
Sonneraient-elles plus fort, ces divines trompettes,
Si comme tout un chacun, j'étais un peu tapette,
Si je me déhanchais comme une demoiselle
Et prenais tout à coup des allures de gazelles?
Mais je ne sache pas qu'ça profite à ces drôles
De jouer le jeu de l'amour en inversant les rôles,
Qu'ça confère à leur gloire une once de plus-value,
Le crime pédérastique, aujourd'hui, ne paie plus.
Trompettes de la renommée
Vous êtes bien mal embouchées
Après c'tour d'horizon des mille et une recettes
Qui vous valent à coup sûr les honneurs des gazettes,
J'aime mieux m'en tenir à ma première façon
Et me gratter le ventre en chantant des chansons.
Si le public en veut, je les sors dare-dare,
S'il n'en veut pas je les remets dans ma guitare.
Refusant d'acquitter la rançon de la gloire,
Sur mon brin de laurier je m'endors comme un loir.
Trompettes de la renommée
Vous êtes bien mal embouchées
Je n'ai aucune admiration, aucune estime, aucune pitié pour ce genre de personnage qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, et qui fait les poubelles pour se changer les idées, parce que le fric c'est trop chic, déprimant à la fin... Certains n'ont pas le choix de par leur naissance, leur pays, de vivre une bonne vie. Lui il avait le choix, c'est pas la faute à la société s'il a fait celui de la mauvaise, pas la faute à la société s'il la raconte ensuite. Il n'avait qu'à fermer sa bouche pleine de cuillères en argent, le silence est d'or.
RépondreSupprimer"(...) me fiant uniquement aux assertions de Marine le Pen."
RépondreSupprimerD'ailleurs traiter de fachos ceux qui approuvent les propos de Marine me laisse songeuse. ça aurait été Ségolaine, je ne vois pas ce que ça aurait changé au débat sur la moralité de FM. C'est un raccourci vraiment bidon que d'assimiler l'idée de la moralité à une idée FN, donc fasciste, et de faire de ceux qui défendent une certaine moralité des vilains fachos, c'est insulter le peuple d'accord avec ces propos et bafouer la morale. Au point où ils en sont...
"TOUT LE MONDE S' EXPRIME ! je ne m'en sors pas indemne, le fait de vous répondre."
RépondreSupprimerC'est pire que la grippe Hachun-Hénin ce machin, et pas de vaccin (pour l'instant ! Freddy serait bien capable, turpitudineux comme il est, de se venger, schlack loi Hadopi maxi qui coupe nos connexions dès qu'on dit du mal de lui). Mais moi je dis : vaut mieux ça que de dire du mal de son voisin hein ? surtout s'il bosse chez France Telecom, je ne voudrais pas un nouveau suicide sur la conscience.