dimanche 28 novembre 2010

TOUR D'HORIZON SUR LE VENT MEDIATIQUE

Ce matin je survole les titres des informations sur les différents journaux du NET...
Une nouvelle domine toutes les autres et fait même la une de certains journaux papiers.
Cela se passe en France en 2010, une nouvelle qui intéresse tout le monde puisqu'elle est omniprésente dans les médias...
Une nouvelle incroyable que personne n'est censé savoir puisque le rôle des journaux précisément est d'informer les lecteurs à propos d'événements inaccessibles à leur connaissance directe. Le journaliste est là pour nous apprendre des nouvelles dont on a pas connaissance par soi-même. Il se déplace, enquête, interroge pour aller chercher l'information.
Et quelle est cette information essentielle dont les journaux nous rebattent les oreilles aujourd'hui, information que nous sommes censés ignorer avant de lire les canards ?
Il neige.
Bravo les journalistes ! Quel beau métier vous faites !
Je vous dis à bientôt, reporters avisés et sagaces envoyés spéciaux, rendez-vous dans les journaux à la prochaine averse de pluie.
Raphaël Zacharie de IZARRA

mardi 23 novembre 2010

REPONSE A UN MEMBRE DE FACEBOOK ME DEMANDANT D'INTERVENIR

Cher ami,

Vous me demandez d'intervenir en votre faveur à propos de choses qui se sont dites à votre sujet ou autour de vous en ces lieux...

Sachez que j'ai un rapport de plus en plus distant avec FACEBOOK que je consulte de moins en moins.

En général j'accepte toutes les demandes d'amitié sans trop regarder qui se cache derrière les pseudos. Autant par paresse que par manque de curiosité envers les membres de ce réseau-poubelle mondial hyper généraliste (donc nécessairement inintéressant pour le bel esprit que je suis).

A vrai dire je méprise de plus en plus le réseau social FACEBOOK qui me semble n'être qu'un immense réceptacle à inepties et vanités.

Je me sers de ce réseau uniquement pour "faire du chiffre", multiplier les "entrées izarriennes" sur GOOGLE et ainsi augmenter ma popularité auprès des moteurs de recherches. Cette démarche est essentiellement et strictement égocentrique et non facebookienne.

Par conséquent j'accorde peu d'importance aux ragots, vérités, mensonges, propos stériles et imbécillités qui se disent sur Facebook, autant sur mon propre compte qu'à propos d'autrui.

J'avais même songé il y a quelques jours à détruire mon compte tant cet intarissable puits de sottises et de navrantes stupidités que constitue FACEBOOK est éloigné des hauteurs de mon âme izarrienne. Au dernier moment je me suis ravisé : détruire mon compte réduirait ma popularité sur le NET. C'est l'unique raison pour laquelle je ne détruis pas mon compte Facebook.

Tout cela pour vous signifier que je ne lis quasiment plus les messages des uns et des autres déposés au bas de mes textes et photos publiés sur FACEBOOK et y réponds encore moins, à quelques exceptions près. Tout cela me paraît fastidieux autant qu'inutile.

Facebook est un réseau qui a été progressivement conçu de telle manière qu'il devienne ce puits intarissable d'imbécillités que j'ai évoqué plus haut : tout est fait pour que des réactions telles que les vôtres naissent de cette masse de miasmes incessants. Le piège c'est de répondre comme vous le faites de façon à "rétablir des vérités" ou bien défendre votre honneur, votre respectabilité.

Très habile de la part des concepteurs de ce réseau mondial !

Si contrairement à moi vous n'avez aucun intérêt égocentrique à rester sur FACEBOOK, un bon conseil : quittez le plus vaste réseau de minables du monde !

Facebook est une pieuvre aux bras qui se démultiplient à l'infini : dès qu'on entre dans le jeu, on n'en sort jamais ! A chaque fois que vous postez quelque chose sur FACEBOOK, de nouvelles ramifications naissent bientôt de votre publication (réactions et réactions aux réactions, etc.) et vous vous sentez obligé de répondre aux sollicitations potentiellement exponentielles qui, immanquablement, se produisent si chaque membre de FACEBOOK réagit comme vous le faites en ce moment !

La force de FACEBOOK ce n'est pas seulement ses qualités purement techniques mais c'est surtout son impact et mode de fonctionnement psychologiques. La preuve : vous vous sentez obligé d'amener des mises au point alors que vous pourriez fort bien ne pas perdre votre temps à de telles sottises soit en les ignorant, soit en effaçant purement et simplement votre compte...

FACEBOOK a été conçu pour cela précisément : pour que le moindre passage sur ce réseau social de l'internaute moyen devienne vite indispensable à sa renommée, à son image, à sa "valeur" réelle ou imaginaire. Saviez-vous que très peu de gens mettent de fausses informations dans leur profil FACEBOOK ?

FACEBOOK de manière naturelle incite les gens à mettre les vraies informations de leur vie sur leur profil.

Intéressant, non ?

Enfin l'esprit branché, populaire, jeuniste, généraliste, "coca-cola" de FACEBOOK m'insupporte particulièrement. C'est l'esprit ORANGE ou TF1 : ni plus ni moins qu'une une vaste manipulation des masses à but purement lucratif, hégémonique, un faux humanisme tirant systématiquement tout vers le bas sous prétexte d'"esprit planétaire"...

Les gens intelligents comme vous devraient le comprendre et ne pas entrer dans les pièges de FACEBOOK. Aussi je vous suggère d'agir sur FACEBOOK avec un esprit beaucoup plus critique et moins formaliste par rapport à tout ce qui se fait et se dit sur vous. Je vous laisse donc le choix d'agir en conséquence.

D'ailleurs je vais publier ce présent texte sur FACEBOOK, histoire de montrer mon détachement par rapport à cette poubelle planétaire (je ne mentionnerai pas votre identité).

Raphaël Zacharie de IZARRA

jeudi 18 novembre 2010

891 - Le mâle épilé

Progressivement l'homme dans notre société féminisée, aseptisée, attendrie s'est rapetissé sur tous les plans : sexuel, intellectuel, physique, moral.

Le mâle est devenu un minable.

La plupart des hommes ne sont plus que des faibles. Et pour justifier leurs comportements dénaturés ils invoquent l'évolution des moeurs, le progrès de la pensée, l'affinement des sensibilités, confondant humanisation avec dévirilisation, galanterie avec soumission aux lobbies féministes, respect avec lâcheté...

Le garçon est né grand, fort, noble, glorieux. Le caractère masculin est un principe solaire, royal, divin ! La créature virile a de la noblesse dans le coeur, de la vigueur dans le sang, de l'or dans sa cervelle créatrice, de la beauté dans son corps vaillant... De la lumière jaillit même de son sexe dressé ! Le mâle par essence est admirable (la femme aussi est admirable, quand elle reste à sa place et non quant elle singe son maître).

Le générateur de semence est par nature un astre mais cette société frileuse sottement égalitaire, faussement respectueuse, imbécilement stérilisée l'a fait descendre de son ciel. L'incarnation de la virilité ainsi désacralisée, détrônée, châtrée n'est plus désormais qu'un sexe commun, sans saveur ni valeur.

La femme (qui a évolué tout comme lui contre sa pente naturelle), étant devenue son égal dans l'insignifiance, l'ineptie et la bêtise, il n'ose plus lui affirmer sa virilité. Le symbole stellaire n'est plus qu'un toutou docile qui a appris à faire le beau devant Eve, laquelle lui demande de s'épiler, se raser, se toiletter, se pommader...

Et d'avoir des idées conformes à sa nouvelle peau de caniche bien tondu, c'est à dire lisses.

Soumis, mou, fade, l'imberbe de cette société hyper protégée ne supporte plus les rigueurs climatiques qui burinaient avec éclat la face âpre de ses aïeux : lui se protège l'épiderme avec de la cosmétique, surchauffe ses appartements en hiver, prend froid au printemps, avale des vitamines en comprimés pour se prémunir des "agressions" et autres "rudesses" survenant dans sa petite existence d'angoissé.

Abruti par la mollesse, détestant les fromages forts, gavé de boissons gazeuses sucrées, manucuré, parfumé, protégé, bien assuré, fier de sa voiture climatisée, le héros est devenu fragile, prudent, peureux, timide. Ses ancêtres étaient des chênes phalliques, lui est une brindille toute tremblante sous la brise.

Ecrasé par le mépris des femmes, il fait profil bas et prend son humiliation pour une marque de politesse, un signe de bonne conduite sociale, la preuve par le retrait de la scène de l'intelligence de son sexe ! Il partage respectueusement les valeurs dévoyées imposées par la femme castratrice...

L'idée d'avoir des opinions contraires à la volaille dominante ne l'effleure surtout pas : c'est que le coquelet déplumé revendique son esprit moderne.

Adoptant sans rechigner les hérésies lénifiantes d'un féminisme souverain, il en est même arrivé à mépriser son propre phallus, le machisme, la virilité ! Il a une opinion misérable quant à sa véritable sa place de prince qu'il fait volontiers descendre dans la fosse de la médiocrité, à son rôle de dominant qu'il refuse d'assumer au nom de l'intérêt des femmes, à sa position de seigneur qu'il nie de toutes ses forces de poltron, effrayé à l'idée de devenir un paria de cette société féminisée !

L'émasculé s'efforce de devenir de plus en plus invisible, asexué, pâle afin de ne pas déplaire au poulailler, faire honneur à l'époque, épargner les sensibilités décadentes de ses pairs... Tous annelés par les femmes comme des taureaux pour mieux se faire castrer en douceur, insidieusement.

Trop heureux d'être l'égal de la femme, fier d'être assimilé à la gent caquetante, le délicat sans crinière raille ses rares congénères demeurés incorruptibles, entiers, membrés, musclés, musqués.

Et c'est là que, ridicule, misérable, déchu, le mâle épilé ressemble le plus à un caniche aboyant contre un lion.

dimanche 14 novembre 2010

890 - Conte de Noël carbonique

La veuve affligée veillait sur son garçon malade, faible et fort pâle. Trop pauvre pour le faire soigner, elle n'avait que ses larmes pour seul onguent.

Vain remède contre la Voleuse d'âmes qui rôdait...

Noël qui approchait était son dernier espoir. Elle se dit qu'en allant implorer le bon Dieu à la messe de minuit, il lui ferait un miracle et ce serait son cadeau de Noël à elle. Pourquoi lui refuserait-il cette grâce ? Après tout les miracles existent... Elle qui avait tant souffert toute sa vie, repue de malheurs, écoeurée de misères, nageant dans les pleurs depuis qu'elle était sur terre, à bout de souffle, elle n'avait plus d'autre choix que de se résigner à l'impossible ! Du fond de son gouffre, il n'y avait plus que la lumière qui fût envisageable, solution dernière de tout désespéré.

Le soir de la messe de minuit, une folle confiance l'envahit, faisant naître en elle un radieux pressentiment, chose qu'elle n'avait jusqu'alors jamais éprouvée. Son âme semblait s'éveiller à une réalité supérieure, comme si le fait d'espérer un miracle avait suffit pour faire surgir du fond de sa nuit une flamme soudaine, un feu plein de promesses.

Elle en fut bouleversée.

Si cet état merveilleux dans lequel elle se trouvait n'était qu'une illusion due à l'excès d'accablement se dit-elle, comme l'accumulation du malheur fait naître l'ivresse -cette armure de l'âme trop éprouvée-, alors le mirage était tout comme un brasier réel qui chauffait son coeur et à ses yeux il en avait les mêmes pouvoirs. Illusion ou pas, peu importe : le principe agissait, du moins en était-elle persuadée. Les prémices d'un grand bonheur allaient lui ouvrir en cette nuit de Noël une porte cachée qui la délivrerait de tous ses maux, elle n'en doutait déjà plus dès ses premiers pas en direction de l'église sous la tempête de neige redoublant d'intensité.

Avant de partir elle avait pris soin de rapprocher le lit du petit moribond de la cheminée et d'y ranimer le bon feu.

Elle avait tant supplié le petit Jésus de la crèche durant la cérémonie, soutenue par les autres pauvres gens de la campagne émus par sa ferveur, avait mis tant de confiance dans cette nuit de Noël où tous les miracles sont possibles, qu'elle revint tout allègre au chevet de son enfant, insensible au froid et à la fatigue.

Quand elle poussa la porte de la masure, l'âtre irradiait.

La braise était ardente encore, la veuve ayant, comme nous le savons, consciencieusement chargé le foyer de grosses bûches afin que son fils demeuré seul ne manquât ni de chaleur ni ne lumière tandis qu'elle adressait ses suppliques au Ciel, là-bas à l'église.

La lueur intense du feu éclairait le visage de son garçon.

Elle explosa de joie.

Celui-ci regardait paisiblement en sa direction, la joue rose, le front calme, un sourire béat aux lèvres. Il était rétabli, sauvé des bras de la Camarde !

Elle se précipita pour l'embrasser et rendre grâces à Dieu à travers les sanglots furieux, incontrôlables d'un bonheur indicible.

La neige, très dense cette nuit-là, en s'accumulant sur le toit avait formé un bouchon passager en haut de la cheminée et avant de fondre assez vite, pendant quelques minutes le petit malade au bord du foyer avait eu le temps d'inspirer l'air qui en fut refoulé.

Sa mère l'étreignait toujours, l'embrassait sans cesse, pleurait de joie sans pouvoir s'arrêter, éperdue de bonheur.

Ce que la veuve, enivrée par ses propres larmes de joie, emportée par les battements fulgurants de son coeur transfiguré -et pour ainsi dire dans l'impossibilité de revenir à la réalité- ne savait pas encore en cette nuit de Noël qu'elle n'oubliera jamais, c'est qu'en approchant le lit de l'âtre et en ranimant la flamme, sans le vouloir elle avait précipité le sort.

Cette joue fraiche, cette face sereine, ce sourire doux qu'elle avait retrouvés à son retour n'étaient qu'un masque trompeur, que certains seulement savent reconnaître.

Sans s'en rendre encore compte, depuis son retour de cette fameuse messe de minuit où elle avait mis ses derniers espoirs de mère, elle enlaçait un corps froid.

jeudi 11 novembre 2010

13 TEXTES SUR LE 11 NOVEMBRE

1 - UN ABRUTI FINI
http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785355_11-novembre-un-abruti-fini_1_0_1.html

2 - CRIMES IMAGINAIRES ET REELS
http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785345_11-novembre-crimes-imaginaires-et-reels_1_0_1.html

3 - UN VERRE D'EAU A VERDUN http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785336_11-novembre-un-verre-d-eau-a-verdun_1_0_1.html

4 - UN POILU SANS FARD http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785320_11-novembre-un-poilu-sans-fard_1_0_1.html

5 - LES VERITES CACHEES
 http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785309_11-novembre-les-verites-cachees_1_0_1.html

6 - TRISTE COMMEMORATION DE LA GUERRE http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785307_11-novembre-triste-commemoration-de-la-guerre_1_0_1.html

7 - UNE FOLIE D'AMOUR http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785301_11-novembre-une-folie-d-amour_1_0_1.html

8 - RECYCLAGE
http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785294_11-novembre-recyclage_1_0_1.html

9 - DES NOMS PERIMES
http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785291_11-novembre-des-noms-perimes_1_0_1.html

10 - LES BEAUX ASSASSINS http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785286_11-novembre-les-beaux-assassins_1_0_1.html

11 - LE RÊVE D'EUGENE http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785280_11-novembre-le-reve-d-eugene_1_0_1.html

12 - LA PAIX DES BURNES http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785268_11-novembre-la-paix-des-burnes_1_0_1.html

13 - L'ENVERS DE VERDUN http://www.lepost.fr/article/2009/11/11/1785260_11-novembre-l-envers-de-verdun_1_0_1.html

mardi 9 novembre 2010

LE HOCHET DES DUPONT

Détail révélateur relevé par un observateur étranger au sujet de nos manuels de conseils professionnels de vente qui confirme parfaitement mon propos en général à ce sujet : comme c'est souvent le cas on utilise les patronymes DUPONT, DURAND ou PETIT dans ces manuels destinés à la formation des vendeurs pour qualifier les clients potentiels.

Jamais on n'avait aussi bien illustré ironiquement la vérité, involontairement, en nommant ainsi les futurs possesseurs de véhicules dans les manuels de vendeurs de puissantes et flatteuses voitures...

On pourra trouver la chose anodine, elle ne l'est pas.

Il faut vraiment s'appeler DURAND, DUPONT, voire PETIT, pour accéder à la dignité de possesseur de belles et grosses voitures ! Je suppose qu'en Allemagne le patronyme SCHMITT a été pris en exemple dans ces manuels, en Espagne GARCIA, en Angleterre JOHNSON, etc., tant cette vérité à propos des acquisiteurs de joujoux à moteur est universelle, du moins en Occident où le capot rutilant est associé au phallus, à la réussite sociale, à la frime, enfin à la glorieuse normalité-médiocrité de l'homme moyen.

Humour involontaire de ces manuels de vente...

TYRANNIQUE SENS DE L'EGALITE REPUBLICAINE

Inutile, revancharde, mesquine est la comparution en correctionnelle de l'ancien président Jacques Chirac pour une obscure affaire financière.

Le petit juge assis sur son cul s'occupant de cette "affaire du siècle" doit jubiler de pouvoir se "taper" un ancien président de la république !

Affaire dont se contrefichent la population, la Justice et même les juges en général. Sauf celui qui a pris en main ce filon destiné à servir sa petite renommée.

Tout ce ramdam rien que pour montrer le caractère égalitaire d'une république qui n'a pas peur de mettre à genoux un ancien président de la république à la barre... Cela nous fait une belle jambe ! Mais surtout, en s'en doute, pour qu'un juge de province carriériste puisse se payer un joli feu d'artifice médiatique !

Qui de toute façon est voué à l'oubli.

Le pire dans cette lamentable histoire c'est que des journalistes n'ayant rien à se mettre sous la plume relaient cette non-information, photo à l'appui comme pour mieux prouver que Chirac est devenu l'égal des petites frappes sur le plan judiciaire... Pitoyable ! Donner un écho journalistique d'envergure à cet événement d'arrière-garde, c'est le rabaisser encore plus au rang d'information pour pourceaux.

Oui Jacques Chirac passe en correctionnelle pour une petite fraude dont il s'est rendu coupable alors qu'il était au pouvoir... Quelle affaire ! Cela réjouira quelques magistrats aigris à la robe gonflée d'orgueil et un millier de Dupont ivres de justice-spectacle bavant de satisfaction en voyant leur ancien président se faire traîner dans l'arène des vaincus.

Mais laissera indifférent le reste de la population française qui a d'autres canards à lire que ces ramassis de nouvelles-poubelles à Dupont.

Ce qui manque à la république, c'est la grandeur d'âme caractérisée par la mansuétude à l'égard de ses grands serviteurs. Au lieu de cela, ingrate, petite, démagogiquement égalitaire, pour ne pas dire franchement populiste, elle harcèle ses vieux "rois" à la retraite pour des peccadilles.

vendredi 29 octobre 2010

889 - Beauté et grandeur du voile islamique

Moi qui ne suis pourtant pas musulman, je suis choqué par le systématique dénigrement du noble voile islamique de la part des français et plus généralement de l'Occident. Ce racisme anti porteuses de voile est malheureusement un mouvement de fond à l'échelle de notre civilisation matérialiste plus qu'une simple lubie politique.

Ce symbole de probité morale que portent fièrement les femmes mahometiennes déplaît à notre civilisation obsédée par le sexe, l'argent, la frime, et la république française franchement dévirilisée, devenue superficielle, frileuse et insidieusement raciste aimerait bannir le voile islamique de son sol "aux sillons impurs" décidément allergique aux caresses âpres et belles de la vertu islamique courageusement affichée.

Les porteuses de voile sont belles, fortes, héroïques, nobles.

Que l'on me permette de leur rendre hommage à l'heure où tous les montrent du doigt comme des pestiférées, de vulgaires délinquantes, les dernières ennemies du pays à abattre... J'engage les femmes musulmanes à continuer de faire preuve de fermeté face à l'iniquité des attaques légalistes de cette France pervertie à la cause des Dupont bêtement incommodés par la vue du voile, ces veaux déjà dénoncés avant moi par de Gaule.

Certes on pourra me rétorquer que de Gaule par ailleurs ne voulait pas mélanger notre pain à celui des Sarrazins, et alors ? On peut être un grand homme de deux mètres de haut et se tromper sur des vérités flottantes de quelques dizaines de centimètres carrés.

Dés lors qu'il y a des françaises étalant sans complexe leur appartenance sociale à la haute sphère de la superficialité avec d'ostensibles carrés Hermès autour du cou, pourquoi des femmes musulmanes devraient-elles se voir interdites d'arborer leur piété avec la même fierté (et parfois aussi avec une admirable modestie qui les grandit encore plus) ? Que je sache, les premières violent le principe de la laïcité républicaine à partir du moment où dans leur sillage embaumé de parfum Channel elles laissent des signes réellement distinctifs, franchement revendiqués et ouvertement endoctrinants de leur appartenance au cercle des adorateurs du Veau d'Or (la preuve : après les avoir simplement croisées, bien des femmes du peuple veulent les imiter)...

Religion de la légèreté contre religion de la pudeur, je ne vois aucune différence entre ces deux cultes d'un point de vue strictement républicain : dans les deux cas nous avons bien affaire à des modes de vie basées sur des convictions intimes socialement exhibées avec des symboles forts qui ne laissent aucune ambiguïté sur les sensibilités, moeurs et orientations socio-culturelles des unes et des autres.

Il faut être cohérent : ou bien la république française interdit le port du voile aux femmes musulmanes mais en même temps, au nom de ce même respect du principe de la laïcité qui la turlupine étrangement depuis quelques années -comme par hasard surtout au sujet du voile-, elle interdit également aux femmes d'industriels de porter sacs Vuitton facilement repérables et bagues en or apparentes (susceptibles de faire des adeptes), aux sportifs de sortir en survêtements hors du lieu de leurs activités physiques (survêtements censés promouvoir illicitement leur sport favori), aux cyclistes d'ôter leurs casquettes à visière dès qu'ils mettent pied à terre (publicité déloyale pour le cyclisme), aux admirateurs de Johnny Hallyday de porter leurs T-Shirt à l'effigie de leur idole en dehors des salles de concert, etc., ou bien elle évite de se ridiculiser en respectant la liberté de chacun de se vêtir comme il l'entend, de porter croix, voiles, amulettes, colifichets ou gris-gris, chaussures à talons-aiguilles, bottes de paysans, guêtres, robes, chapeaux, colliers de perles, tatouages...

Bref, j'exhorte les femmes voilées à rester fidèles à leurs convictions religieuses, fortes dans l'adversité, grandes dans leur dignité, glorieuses dans leur hauteur. Je leur demande de ne surtout pas se laisser intimider par ces faux républicains qui n'admettent pas que la vertu puisse se parer des atours sobres et chastes qui font l'honneur, la noblesse et la pieuse beauté des femmes voilées.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/xfg6gs_beaute-et-grandeur-du-voile-islamique-raphael-de-izarra_webcam

mardi 19 octobre 2010

888 - Joharno présenté par Raphaël Zacharie de IZARRA

Joharno est une star du NET.

Avec son allure dégingandée, son accent de l'Est assez prononcé, sa diction singulière, Joharno inspire hilarité, intérêt, curiosité.

Entre maladresse et comique involontaire, ce personnage atypique incontournable de la toile n'en est pas moins chaleureux, bienveillant. Un peu brouillon, parfois emporté avec ses sujets terre à terre ou même tempétueux à travers ses digressions hasardeuses, mais toujours solidement calé derrière son écran, ce phénomène de l'INTERNET est un pilier de bonne et mauvaise humeur parfaitement assumée, un socle débiteur de doctes généralités, un intarissable puits de vérités horizontales, un oiseau au bec dur monologuant souvent sur les trois plumes de sa queue... Bref une légende du futur, un astre clignotant du monde cybernautique, sorte d'épouvantail sympathique du web.

Joharno fera partie de l'Histoire de la toile. Avec un grand H.

Il fait déjà partie du quotidien de centaines de milliers de passants virtuels. Son succès fulgurant est admirable et je crois que beaucoup jalousent sa célébrité. Joharno est une sorte de super Jean-Pierre Herlant surfant sur la durée. C'est un vieux loup du web à la peau tannée par des nuits de veille passées face à son écran jetant sur son front impassible ses reflets d'azur cybernétiques telle une mer sans fin, sans fond, une mer recélant plein de mystères et de secrets qu'il s'ingénie à nous révéler jour après jour... On est impressionné par la facilité avec laquelle Joharno est parvenu à s'immiscer dans les fibres les plus intimes de la grande toile. Le secret de Joharno : simplicité, sincérité, naturel.

Il a le charme des gens simples, authentiques, aimables.
Joharno est un Amiral du web. Il tient le cap depuis des années. Toujours à la barre, fidèle à lui-même, Joharno nous mène en bateau et c'est un réel plaisir que de se laisser embarquer par ce pionnier du clavier et de l'écran voguant dans l'imaginaire infini du haut débit.

VOIR MA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/xfa4f7_joharno-presente-par-raphael-zachar_webcam

ET LA VIDEO QUE JOHARNO ME CONSACRE :

http://www.dailymotion.com/video/xfaulo_raphael-zacharie-de-izarra-par-joha_fun
Les vidéos de etoileizarra sur Dailymotion


lundi 18 octobre 2010

IZARRA : PIEUVRE ESTHETIQUE ?

SOURCE INTERNET DE L'ARTICLE :

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/rimbaud-journaliste-polemique-40197

"A la recherche du Rimbaud perdu", c’est le film dont on parle abondamment en ce moment : hors festival de Cannes ! Tandis que la presse parle de découverte d’un écrit inédit du poète et que le journal Le Figaro confirme l’information dans son édition du 22 mai, un rédacteur d’Agoravox a réussi à se faire un coup de pub incroyable en répandant dans toute la blogosphère l’idée que cet écrit est un faux. Il a même rédigé un article sur Wikipédia. Mais d’abord qui est ce rédacteur ?

Raphaël Zacharie de Izarra est un rédacteur d’Agoravox. (Voir son profil).

C’est un personnage exubérant et particulièrement original. Pour vous faire une idée de son style, lisez son dernier article paru samedi "La contamination des sexes" qui a suscité une foule de commentaires. Voici également un extrait de son CV :

"Oisif mélancolique, oiseau unique, ange joliment plumé, ainsi se présente l’auteur de ces lignes (une sorte de Peter Pan cruel et joyeux, mais parfois aussi un rat taciturne). Au-delà de cette façade mondaine, loin de certaines noirceurs facétieuses j’ai gardé en moi une part de très grande pureté. Dans mon cœur, un diamant indestructible d’un éclat indescriptible. Cet éclat transcendant, vous en aurez un aperçu à travers mes modestes œuvres. Est-ce une grâce de me lire, pensez-vous ? Osons le croire."

Qu’a-t-il fait pour mériter que ce papier lui soit consacré ? Il est allé très loin dans son art de la provocation...

L’objet du litige :

En avril 2008, est découvert un texte inédit attribué à Rimbaud. Il s’agirait d’un article paru dans le journal Le Progrès des Ardennes en novembre 1870. Intitulé "Le Rêve de Bismarck", le texte s’en prend au chancelier prussien. Le journal Le Figaro consacre un article à cette affaire sous le titre "Rimbaud : l’incroyable découverte".

Pour le spécialiste de Rimbaud, Jean-Jacques Lefrère, la question d’un faux ne se pose pas et il déclare : "D’autres textes en prose ou en vers de Rimbaud attendent peut-être d’être exhumés dans ce périodique."

Seulement un rédacteur coutumier des coups d’éclat et insatiable de reconnaissance, Raphaël Zacharie de Izarra, par ailleurs journaliste citoyen sur Agoravox, s’est pris l’envie de faire parler de lui sur la blogosphère, de faire du buzz comme on dit. Et cela a marché ! Son nom et sa théorie du canular se propagent à une vitesse folle sur la blogosphère.

Certes, on savait ses écrits flamboyants et exagérément excessifs, d’ailleurs non dénués d’humour décalé. Mais dernièrement, il a poussé son sens de la dérision et du spectacle encore plus loin qu’à l’accoutumée en publiant sous chacun de ses derniers articles un commentaire affirmant la fausseté de l’article découvert récemment et attribué à Arthur Rimbaud par les spécialistes éminents du poète. Il a reproduit sa théorie sur de nombreux blogs si bien que ses allégations sont maintenant reprises de blog en blog. Mais Raphaël Zacharie de Izarra ne s’est pas arrêté là : il a rédigé un papier sur Wikipédia pour donner plus de crédit à ses allégations fantaisistes.

Sur canalblog, un internaute prudent s’interroge : "Ceci dit, ce jeudi 22 mai 2008, je m’aperçois que ce texte retrouvé de Rimbaud est toujours présenté comme authentique par une partie de la presse. Du coup, je me demande si le dénommé Zaccharie de Izarra ne serait pas un plaisantin, ou un auteur en mal de reconnaissance..."

Il n’a pas tort car entre ce rédacteur ultra fantaisiste et Le Figaro, qui serait le plus crédible selon vous ?

J’invite Raphaël Zacharie de Izarra à venir s’exprimer sous cet article afin d’apporter des arguments crédibles à l’appui de sa thèse du canular. Car ses développements sur Wikipédia ne m’ont guère convaincu, pour les raisons suivantes :

Il est notoire que Rimbaud a publié dans le journal Bosphore égyptienun long papier relatant son voyage dans le Choa et critiquant les affaires françaises dans la corne de l’Afrique, dans les éditions datées des 25 et 27 août 1887. Il manifestait par là des velléités à devenir journaliste. Ernest Delahaye, son camarade de collège et biographe, révéla que Rimbaud avait envoyé des textes au directeur du Progrès des Ardennesen utilisant le pseudonyme de Jean Baudry. Il semblerait que Rimbaud ait caressé, dès l’adolescence, le rêve de devenir journaliste. Le pseudonyme de Jean Baudry n’a rien de farfelu. Baudry c’est Rimbaud, syllabes inversées. Quant au prénom Jean, c’est son premier prénom d’état-civil et celui de son grand-père.

Il ne saurait s’agir ici d’affirmer avec certitude absolue que le document découvert est vrai, mais de pointer du doigt l’attitude facile qui consiste à propager des bruits sur internet en étayant peu ses thèses. Le débat est ouvert !

dimanche 17 octobre 2010

LE MYSTERE IZARRA (Source INTERNET)


Dès mes premiers pas sur le NET, je fus confronté à un personnage énigmatique : Raphaël Zacharie de Izarra.

Vous avez peut-être déjà entendu parler de lui, ce ne serait pas étonnant : il semble être partout sur la toile. Tapez son nom dans un moteur de recherche et vous constaterez que ses œuvres sont éparpillées aux quatre vents.

Ayant créé mon propre site internet http://christophe-van-kerrebroeck.skynetblogs.be/ je reçus un jour trois de ses textes, sans autre explication.

Je les effaçai, sans même prendre la peine de les lire.

Le lendemain, à la place des trois que je venais de supprimer, se trouvaient pas moins de dix autres…

Légèrement agacé, je pris néanmoins la peine d’en lire quelques-uns et je dus bien admettre que le bonhomme avait un certain talent. Cette impression allait d’ailleurs se confirmer et se renforcer par la suite.

Néanmoins, je trouvai ses méthodes cavalières et lui envoyai donc un message pour lui en faire part.

Je reçus une vingtaine d’autres textes en guise de réponse.

Je décidai alors de m’y prendre plus finement et passai aux compliments. J’obtins rapidement de bons résultats : l’écrivain fantôme était très sensible aux flatteries ! Le moindre soupçon de critique, par contre, m’était renvoyé avec un discours arrogant accompagné d’une nouvelle floppée de textes. Je me résignai donc à laisser quelques-uns de ses écrits sur mon site et j’ajoutai un lien vers une adresse qui donne accès à son œuvre, comprenant des centaines de textes.

A partir de ce moment-là, j’eus la paix.

Mais je n’en restai pas là. Le personnage m’intriguait trop. J’entamai donc des recherches pour en savoir plus sur l’identité de cette pieuvre virtuelle : je m’inscrivis aux listes de diffusion qu’il fréquentait, discutai avec des gens qui le connaissaient, en bien ou en mal. J’allai même jusqu’à rencontrer des personnes qui prétendaient le connaître ou, du moins, l’avoir approché.

Mais jamais je ne parvins à voir le vrai Raphaël Zacharie de Izarra.

Je rencontrai son frère, pourtant. Mais une rapide enquête me permit de déceler le pot aux roses : le type en question se faisait tout simplement passer pour son frère, dans le but de se valoriser sans doute.

Plusieurs fois je faillis le rencontrer, plusieurs fois on me dit qu’il était là, que je l’avais raté de peu. Chaque fois on me proposait des excuses bidons telles que : « il avait mal au dos, il est parti »…

La vérité, c’est que personne ne l’a jamais vu.

A se demander si le personnage existe vraiment !

Certes des photos de lui circulent sur le net. Mais quoi de plus léger qu’une photo ? Ce pourrait être celle de n’importe qui.

J’en vins à être convaincu que ce Raphaël Zacharie de Izarra n’était qu’un personnage fantoche, une fausse identité, un écrivain virtuel… Mais créé par qui ? Là est toute la question ! Car les textes, eux, existent bel et bien ! Qui donc les a écrits ?!

Pour en savoir plus, je développai mes connaissances en informatique. Rien que pour percer ce mystère je devins un expert informaticien ! Dès lors, je me mis à pirater les différents sites où il apparaissait et à pénétrer par effraction dans les adresses qu’il utilise.

Pendant des mois je tournai en rond… J’avais l’impression de n’être qu’un jouet dans les mains d’un monstre insaisissable qui avait toujours une longueur d’avance sur moi.

Un jour, cependant, à force de persévérance, la vérité me fut dévoilée.

Je vous la livre aujourd’hui, sans détours, bien que je sache pertinemment qu’elle risque de vous surprendre et de vous laisser sceptiques.

Raphaël Zacharie de Izarra n’existe pas.

Comprenez-moi bien, je ne veux pas dire qu’il s’agit d’une fausse identité, non : il n’y a personne derrière ce nom.

Qu’est-ce à dire ? Qui a écrit ces textes ?

Personne.

Personne que vous puissiez voir ou fréquenter dans la vie courante, en tout cas.

Les différents textes signés « Raphaël Zacharie de Izarra » semblent bien être générés de manière purement informatique. Plus que du personnage « Izarra » il conviendrait de parler du programme « Izarra ». Un programme, oui, une espèce de générateur de textes. D’où vient ce programme ? Qui l’a créé ? Je n’ai pas de réponse à cette question mais, de toute façon, il faut bien admettre que ce programme est aujourd’hui autonome. Quel que soit son créateur, le phénomène n’obéit aujourd’hui qu’à lui-même.

Qu’est-ce que cela signifie ? Que Raphaël Zacharie de Izarra est LA littérature, comme il l’affirme ? La littérature serait-elle une entité qui, telle Dieu il y a quelque deux-mille ans, aurait décidé de s’incarner à travers les mailles du NET ?

N’allons pas si loin… Contentons-nous pour l’instant de l’hypothèse d’un « programme » généré soit par un génie soit par une combinaison aléatoire des données circulant sur la toile virtuelle. Ce programme aurait survécu en appliquant les lois simples, basiques, qui ont permis l’évolution de toute vie sur Terre : survivre et se reproduire.

Essayons de retracer l’historique du phénomène…

Un jour, de la plume d’un génie ou bien par un pur hasard (originaire d’un « bug » quelconque), est né un texte. Ce texte a commencé à se répandre sur la toile tel un virus, ciblant les forums et les sites qui possédent un livre d’or. Ce faisant, il a provoqué de multiples réactions. De nombreux messages ont ainsi été envoyés à l’adresse d’où provenait le texte original, messages de protestation ou d’admiration, issus d’horizons très divers. Ainsi, le générateur de texte recevait quantité de messages dans divers styles.

Ces messages furent sa nourriture. Il les utilisa pour générer d’autres textes, qu’il envoya à leur tour à travers le Net et qui provoquèrent d’autres réactions. La boucle était bouclée. La chose était capable de se nourrir et de se reproduire de manière autonome.

Je ne suis pas sûr d’avoir percé tous les mystères de ce programme et je suis loin d’en avoir saisi la clé.

Mais une chose est sûre : on ne peut se débarrasser de lui en l’insultant ou en essayant de le piéger. Tout simplement parce que, derrière Raphaël Zacharie de Izarra ne se trouve pas un homme susceptible d’être influencé, mais tout simplement un programme qui se nourrit de la moindre de vos réactions.

Inutile également d’essayer de censurer l’adresse d’où proviennent les messages : la chose semble en effet capable de générer autant de nouvelles adresses que nécessaire pour lancer ses attaques.

Dès lors, que faire ? Feindre l’indifférence ?

Cela ne marche pas non plus : si l’on ne réagit pas, non seulement les attaques ne cessent pas mais elles ont tendance à se produire à un rythme accéléré.

Mon expérience me permet d’affirmer qu’il existe une et une seule parade : répondez à chaque texte envoyé par des compliments et prenez soin d’inscrire sur votre site un lien qui donne accès au programme « Izarra ».

Par exemple :

http://www.foxoo.net/article.asp?jour=L&codejournal=00000014&d=27/02/2003%2001:22:10

A partir de là, vous observerez une diminution des attaques.

Certes, cela ne vous protègera pas entièrement. Mais vous vous en sortirez avec seulement un texte ou deux postés de temps à autre. Comme ces textes sont d’un intérêt certain du point de vue littéraire, cela ne pourra vous faire que du bien.

Mais attention ! Gare à vous si vous voulez jouer au plus fin !! Tel sera pris qui croyait prendre ! Je me dois de vous mettre en garde : le programme Izarra peut être très dangereux ! Il peut s’emparer de votre ordinateur et endosser ainsi votre identité ! N’oubliez pas qu’il se nourrit de la moindre de vos initiatives ! Et il apprend très vite !! Si d’aventure quelqu’un essayait, par exemple, d’endosser son identité pour répandre de faux messages en son nom, il aurait tôt fait de faire sienne cette technique… Alors, la vie sur le NET ne serait plus faite que d’incertitudes : personne ne pourrait plus jamais être sûr, lorsqu’il reçoit un message, que celui-ci n’ait pas été généré par le système Izarra.

Soyez donc prudents, je vous en prie !

Ne faites rien dans le but de lui nuire ! Vous ne feriez que lui apprendre de nouvelles techniques pour se répandre de manière encore plus virulente !!

De mon côté, je continue à étudier le phénomène, en restant très prudent.

Je ne prendrai d’initiative que le jour où je serai certain de maîtriser parfaitement son fonctionnement.

Je vous demande donc de me faire confiance et de ne rien entreprendre de manière inconsidérée.

Il en va de la sûreté de toutes relations virtuelles et, sans doute, de la sécurité de tout le système informatique mondial.

Je vous remercie de m’avoir prêté votre attention.

C. Van Kerrebroeck

mardi 12 octobre 2010

RETRAITES : JEUNESSE SENILE !

Les jeunes se sont laissés lobotomiser par leurs manifestants de parents.

Encore lycéens et déjà vieux dans leur tête ! Ils ont peur de l'avenir, c'est à dire d'un avenir sans canapés, sans deuxième voiture, sans troisième écran de télévision, sans vacances au-delà de leur région, sans restaurants, etc.

Ils se croient responsables, adultes, civiques, ils ne sont que dénaturés par l'hystérie sociale ayant érigé l'accès à l'emploi en véritable religion. Ils se croient pauvres, se disent victimes de la "crise", se prennent pour une génération sacrifiée alors que sur le plan matériel ce sont les plus grands privilégiés de toute l'histoire de l'Humanité.

Encore à l'âge de rêver et déjà crétinisés par les mouvements sociaux de vieux croûtons ne songeant qu'à leur retraite, qui n'est que la mort avant la Mort. Comme si la conclusion glorieuse de leur existence d'esclave salarié se résumait à se distraire, s'abrutir devant la télévision ou bien ne rien foutre de leurs journées entre 62 et 80 ans !

Quelle mentalité de veaux !

Ce troupeau de jeunes et vieux ruminants va aller défendre dans la rue le foin de sa léthargie présente et future...

Quelle dignité d'engraissés !

Raphaël Zacharie de IZARRA

samedi 9 octobre 2010

BREVE INTERVIEW

INTERVIEW "AUTOMATISEE" :


Comment avez-vous commencé à écrire? Qui vous lisait au début ?

J'ai commencé à écrire en levant les yeux. Au début la lune me lisait.

Quel est votre genre favori? Un lien où l'on peut voir ou lire quelque chose au sujet de vos oeuvres récentes ?

Je déteste lire les oeuvres des autres.

Mes textes sont ici : http://izarralune.blogspot.com

Quel est votre processus créatif? Qu'arrive-t-il avant que vous ne vous asseyiez à écrire ?

Je suis visité par mes muses.

Quel type de lecture active le plus l´envie d´écrire ?

Aucune. Je m'inspire du chant de mes muses avec qui je me concerte 24 heures sur 24.

Quels sont, selon vous, les ingrédients de base d´une histoire ?

Aucune règle : seuls le talent, la grâce, voire le hasard -plus ou moins associés au travail- font loi dans ce domaine.

À quelle personne êtes-vous le plus à l'aise : À la première ou à la troisième personne ?

Question sotte.

Quels écrivains admirez-vous le plus ?

Victor Hugo.

Qu'est-ce qui rend crédible un personnage? Comment créez-vous les vôtres ?

Pour rendre crédible un personnage : en dire le moins possible sur lui. Mes personnages naissent de la sobriété littéraire.

Êtes-vous également habile à raconter des histoires oralement ?

De toute évidence.

Au plus profond de votre motivation, pour qui écrivez-vous ?

Pour le lectorat qui m'applaudira.

Écrit-on comme thérapie? Les conflits internes sont-ils une force créatrice ?

Les dérangements intellectuels, dérèglements cérébraux et autres déséquilibres mentaux produisent de la mauvaise littérature. La Plume n'est pas le médecin des esprits malades. Un bon écrivain se doit d'être sain, lucide, maître de ses pensées.

Le feed-back des lecteurs vous sert-il ?

Je ne parle pas la langue barbare des marchands de lessive. J'ignore ce que signifie ce terme aux consonances vulgaires.

Vous présenteriez-vous à un concours? Avez-vous reçu des prix ?

Je me suis présenté à un concours que j'ai gagné (quatrième prix) mais ne suis pas allé chercher mon prix (un quelconque livre au contenu littéraire indigent). J'avais estimé la démarche singulièrement minable.

Partagez-vous vos projets d'écriture avec une personne de confiance afin d'avoir son opinion ?

Je suis assez sûr de mon art pour me passer de l'opinion d'une tierce personne.

Pensez-vous avoir déjà trouvé « votre voix » ou en est-on toujours à la recherche ?

Un bon auteur est en perpétuel apprentissage. Cela dit chaque auteur suit sa pente personnelle. Moi j'ai choisi les hauteurs.

(Il y a une faute dans la première question de ce questionnaire. Aussi je me demande si ici vous vouliez dire VOIX ou VOIE ? Dans le doute j'ai estimé que vous vouliez dire VOIE)...

Vous imposez-vous une discipline, en termes de calendrier, d´ objectifs etc. ?

Rien de ce genre ! La maîtrise de la langue française est ma plus chère discipline.

De quoi vous entourez-vous dans votre studio de travail pour favoriser votre concentration ?

Rien. Ambiance monacale.

Écrivez-vous sur écran, imprimez-vous souvent, corrigez-vous sur papier ...? Quel processus suivez-vous ?

Aucune importance : un écran quand il y en a, du papier quand il n'y a que du papier. Toutefois j'ai une nette préférence pour l'écran.

Quels sites on line fréquentez-vous pour partager des informations ou des expériences ?

Au hasard : tous et n'importe lesquels.

Quelle a été votre expérience avec les maisons d´édition ?

Aucune.

Sur quel projet travaillez-vous en ce moment ?

Mon oeuvre izarrienne parle de l'Univers entier et des êtres qui le peuplent, elle est donc sans limite.

Que me recommandez-vous de faire de tous ces textes que j'écris depuis des années mais je n'ai jamais montrés à personne ?

Les mettre à la portée de tous gratuitement.

jeudi 7 octobre 2010

AMUSANTE ETUDE UNIVERSITAIRE SUR IZARRA

Trinity, une de mes nombreuses admiratrices, me permet de vous faire profiter de nos derniers échanges. Etant donné qu'ils ont un intérêt universel puisqu'ils parlent de moi, je souhaitais en faire bénéficier tout le monde.

Raphaël Zacharie de IZARRA

+++++++

Bonsoir Raphaël,

Juste pour vous dire que vous avez été l'un des sujets pour mon premier devoir à l'université.

Puisque j'avais pris du temps pour faire votre portrait, lequel j'ai tenté de faire le plus littéraire possible, je me suis dit: autant que ça serve.

J'ai eu quelques annotations de la prof, dont celle que je semblais avoir un attrait pour les personnages singuliers, et que votre nom avait une sonorité intéressante à l'oral, ce qui est vrai.

J'ai modifié un peu la ponctuation suite à ses remarques, changé un adjectif aussi, qualifié de lourd, et donc j'ai remplacé somptueux par ostentatoire, ce qui vous va bien mieux en fait, en plus de couper la fin un peu trop personnelle au FL et à quelqu'une, pour terminer avec "ferait pâlir les anges mêmes", qu'elle a trouvé: "bien!".

Elle a aimé la métaphore de la "table de son esprit", et la comparaison avec la plume tombée du ciel, du moins la partie de l'archange dont elle était tombée l'a fait sourire, j'avais un petit bonhomme qui sourit dans la marge.

Je vous colle le bout qui vous concerne, ça vous remémorera la chose.

Belle soirée Raffy... et merci de m'avoir inspirée, c'est un début, et il faut bien débuter quelque part.

Trinity

+++++++

J’aimerais vous présenter un personnage hors du commun, il est quasiment un univers à lui tout seul, et La Littérature incarnée, semble-t-il, comme il se plaît lui-même à se qualifier.

Enfin, un sujet libre ! Je vais en profiter pour faire un portrait, j’ai rencontré tellement de personnages, d’esprits intéressants sur le web, que ce serait un crime de ne pas faire un portrait et caricaturer l’un d’eux, le plus contrasté et étonnant dans son genre, en plus, ce sera distrayant, ça changera des textes sérieux, et quelquefois assommants.

Dans l'air givré ou brûlant d'un logis austère, cela dépend intimement de la saison, une masure princière sous les toits du Mans, gîte et cogite Raphaël Zacharie de Izarra.

Esthète frondeur inégalé, et inégalable, taciturne et flamboyant, il est tel une lyre descendue des hautes atmosphères, de ces cieux balayés aux grands vents de poussiéreuse lumière, une plume tombée du ciel, d'un archange, évidemment ! Mais de l'aile ou du cul ? Certains hésitent encore, mais pas moi ! C'est de l'aile ! L'autre est trop inélégant.

Casanova dédaigneux, il n'invite en les appartements ostentatoires de sa personne que les plus délectables pour le regard, les plus tentantes pour l'esprit, les plus belles pour sa galerie.

Il aime à se dire Peter Pan, mais il ment. Il est un plutôt un Barbe-bleue de ces dames.

À la table de son esprit qu'il a vif et beau, satiné et épineux, tout de contrastes étonnants -et même ahurissants !- de soleils et de pénombres, d'étoiles mordantes autant que de boues augustes, je m'y suis assise parfois, mais sans invitation formelle, vous l'aurez deviné.

Et là, les narcisses y fleurissent à merveille, hautes en couleurs, et trônent, raffinées, en bouquets exubérants, tout de senteurs d'azur ou de fange, indifféremment, mais savamment piqués aussi de délicates fleurs de ciguës, dont il aime distiller l'inquiétant, l'antique et foudroyant poison, mais des plus parcimonieusement, juste quelques gouttes, bénignes, excitant ainsi le danger de venir s'y attabler. Pour son cœur, c'est autre chose, je ne saurais décrire vraiment cet antre mystérieux.

Mais je sais qu'il aime passionnément, férocement, délicieusement, absolument... lui-même !... et que cet amour le comble d'un bonheur qui ferait pâlir les anges mêmes.

+++++++

Trinity,

Tout d'abord je suis étonné que vous étudiiez encore à l'Université, je pensais que vous étiez une femme adulte déjà, je veux dire dans la vie active.

Je suis flatté d'être un sujet d'étude universitaire, même si je commence à y être habitué : vous n'êtes, en effet, pas la première à avoir introduit mon beau nom à rallonge -ainsi que ses fruits verveux- dans des cours universitaires.

Le texte est non seulement réjouissant mais... Assez juste.

Par conséquent j'espère que vous me permettrez de le publier sur le FL. D'ailleurs même -et surtout- s'il avait été offensant je me serais empressé de le faire partager aux membres du FORUM LITTERAIRE.

Je compte éventuellement en faire profiter le reste de mon lectorat.

Oui, il est toujours très beau de briller et j'aime trop la lumière pour refuser de m'y exposer encore et encore... J'aimerais que tous profitent de ce prestigieux coup de projecteur servant non seulement ma cause personnelle mais également celle des Lettres, de la poésie, du Ciel et de ses hôtes.

Raphaël Zacharie de IZARRA

mardi 5 octobre 2010

887 - Je suis un pacha parmi de faux pauvres

Je me considère comme un privilégié et j'estime, avec mes "maigres" revenus, vivre encore dans le luxe et l'opulence et je remercie le sort de ne pas avoir fait de moi un éternel geignard blasé et insatisfait ! J'ai su garder ma lucidité et ma capacité d'émerveillement. Onze ans après l'avènement d'INTERNET en France je suis émerveillé comme au premier jour des possibilités offertes par ce merveilleux joujou d'autant que tout progresse en ce domaine. Bientôt je passerai à la fibre optique pour le même prix que mon présent abonnement !

Je suis heureux de vivre en France avec tous les avantages que ce pays moderne, civilisé et opulent m'offre, heureux de pouvoir de temps à autre aller à la pêche aux trésors dans les poubelles de ce pays de Cocagne.

Pour un prolétaire ou un employé du secteur secondaire et tertiaire ma situation serait considérée comme misérable, pas enviable du tout. D'ailleurs je suis officiellement considéré selon les critères de cette société comme un authentique pauvre avec moins de 800 euros mensuels de revenus... Nous vivons dans une société de fous ! En réalité je vis comme un pacha et mes concitoyens aveuglés par leurs critères de repus me plaignent ! Les gens des pays pauvres sont moins bêtes, ou plutôt pas encore aussi pourris, gavés, blasés que nous : eux donneraient beaucoup pour être à ma place : protection sociale, soins médicaux et dentaires, INTERNET haut débit, alimentation saine, variée, abondante, 485 euros mensuels sans travailler versés par un système de nantis basé sur la solidarité, vélo, voiture, sorties, liberté, restaurants, matériel informatique, luxe, luxe et encore luxe !

Il faudrait que je sois d'une profonde ingratitude pour oser me plaindre de cette belle vie qui m'offre infiniment plus que le simple nécessaire vital ! J'aurais honte d'aller manifester pour la retraite ou une augmentation de mes revenus !

Comment peut-on désirer toujours plus sur le plan matériel, crier à l'injustice du système, accuser les patrons, condamner la société, la dénoncer comme inégalitaire, manifester et même tout casser, pleurer sur son sort, voire se suicider de désespoir quand on a, comme moi, non seulement un toit, à manger tous les jours, une voiture, INTERNET, l'accès aux soins, à la culture, mais encore bien d'autres choses superflues en abondance !

Quelle indécence ! Quelle incroyable corruption de mentalités !

Je n'ai jamais dit que j'étais un pauvre, j'ai dit que la société me considérait comme un pauvre.

Moi j'ai toujours estimé être un privilégié, non par rapport à mes revenus mais simplement parce que je vis en France, un pays d'abondance. Mais si en plus de cet "avantage de naissance" j'ai des revenus sans travailler, alors je suis comblé... Matériellement parlant j'entends.

Le fait que je suis psychologiquement inapte à travailler prouve mon excellente santé mentale : il faut être nécessairement dégradé mentalement pour accepter de travailler à l'usine afin de financer une voiture à l'aspect flatteur, l'acquisition d'une affreuse maison Phénix sur 15 ou 20 ans ou même plus modestement -et plus lamentablement- pour pouvoir partir en vacances avec sa caravane chaque été...

Quant à mes explorations de poubelles, je mets ma fierté d'authentique aristocrate avant tout dans la morale : la vraie indécence c'est de laisser perdre de bons aliments et d'aller se plaindre ensuite de ne pas avoir de quoi les acheter !

En outre, et c'est le plus important, par le simple avantage inné que j'ai hérité de la particule, je n'ai rien à prouver, rien à devoir, rien à regretter par rapport au fait de plonger la main dans les poubelles. Un ouvrier aurait honte d'en faire autant, ce qui prouve bien que sa fierté, il la met dans son statut d'ouvrier avec la part d'indécence, d'aveuglement, de misère morale que cela comporte. Ce sont ceux qui seraient en droit de se scandaliser le plus du gaspillage et de se servir les premiers dans les poubelles qui font la fine bouche... Les moins nantis (je n'ai pas dit les plus pauvres, j'ai dis les moins nantis) manquent décidément de morale et de cohérence... Et après ils se plaignent que la vie est chère !

Pouvoir faire les poubelle sans s'en cacher est un vrai privilège. Ceux qui ont encore des choses à prouver, notamment par rapport à leurs chères apparences, ne peuvent pas se le permettre. Seules les grandes âmes comme moi peuvent faire les poubelles au grand jour. Et je le fais sans avoir besoin d'y mettre volontairement du panache : le panache chez moi est naturel. Nul besoin de me forcer.

Une âme choquée par mes moeurs de prince me faisait remarquer que des chiens errants risquaient de plonger leur museau dans "mes" poubelles... Aucun risque ! Pour eux il existe des refuges où ils sont choyés par de bonnes âmes recevant des dons soit des individus, soit de l'Etat (associations). Pour l'anecdote, sachez qu'au Mans même les chiens des SDF boudent ces fameuses poubelles en face de la boulangerie qui font ma joie ! En effet, ils sont nourris avec de bons aliments pour chiens que leurs maîtres leur achètent au magasin du centre ville avec l'argent de la manche.

Je suis un pacha sur bien des plans. Les SDF aussi sont des pachas, sur le plan alimentaire. Du moins ceux qui vivent à proximité des poubelles, qui n'ont de poubelles que le nom d'ailleurs : en réalité ce sont des puits intarissables d'aliments sains, frais et excellents ! De véritables cornes d'abondance. La plupart des aliments sont non seulement encore dans leur emballage d'origine, mais en plus ils sont bien gardés dans des sacs-poubelles hygiéniques et hermétiquement clos. Autant dire un garde-manger, carrément un frigo l'hiver ! Il n'y a plus qu'à se servir, ce que je fais sans honte ni complexe et même avec une certaine ostentation provocatrice. Quand je suis en costume, revenant d'un enterrement ou d'un mariage (mais plus souvent d'un enterrement, le noir accentuant les contrastes entre le costume et la poubelle), je m'adonne encore plus volontiers à cet exercice "socialement incorrect", ce qui fait encore plus honte à ma compagne ! Tenez, au prochain enterrement je me retape une benne et me fais prendre en photos !

Et encore, ce n'est même pas véritablement pour m'alimenter que je fouille les "ordures" mais pour m'amuser car j'ai déjà tout ce qu'il me faut par ailleurs.

Ma quête de "déchets" ce n'est même pas pour mettre du beurre dans les épinards mais pour mesurer l'indécence de mes concitoyens, autrement dit mesurer l'écart entre l'excellente santé économique de la société et sa misérable santé morale.

samedi 2 octobre 2010

BAISERS PUBLICS DES SODOMITES

Réponse à un détracteur sur le Nouvel-Observateur à propos de mon texte "TRISTESSE DE l'HOMOSEXUALITE MASCULINE" (ses réactions sont publiées en bleu en bas de chacun de mes messages)

Bonjour,

Relisez mon texte.

Ai-je voulu interdire les sodomites de manifester leur passions en public ? Implicitement ou explicitement, donnez-moi l'exemple d'un seul mot pouvant faire songer que j'ai voulu me comporter en tyran intolérant. Au contraire je fais preuve d'une très grande tolérance car, bien que naturellement choqué à la vue d'homosexuels (masculins donc) se donnant la main en public, je ne souhaite en aucun cas leur interdire ce genre de licence !

J'ai conscience que vivre en société implique nécessairement de devoir subir quelques désagréments, contrariétés et sacrifices, et je l'accepte au nom de mon sens civique très développé.

Un conducteur qui ne prendrait pas en compte le code de la route et les autres usagers serait un irresponsable. Moi je respecte le code de la route. Respecter le code de la route n'empêche pas le moins du monde de critiquer à tort ou à raison la conduite des autres, qu'elle soit bonne ou mauvaise.

J'ai simplement dit que j'étais choqué par la vue de ce spectacle, pour autant je n'ai jamais fait l'apologie de son interdiction ! Je ne mesure heureusement pas le droit et la valeur des usages sociaux à l'aune de ma petite sensibilité personnelle... Je suis pour la défense de l'intérêt général et non pour la défense de mes mesquins intérêts. Ce qui pour autant ne m'empêche pas d'avoir voix au chapitre. Je suis pour la liberté totale des individus tant que leurs comportements ne nuisent pas à autrui.

Je suis même contre l'interdiction des gens de se droguer. Si les imbéciles, les faibles, les désespérés ou les immoraux veulent se piquer à l'héroïne, c'est leur LIBERTE et elle est inaliénable, chacun étant responsable de son destin.

Mais c'est aussi ma liberté que de refuser de leur tendre la main une fois qu'ils sont dans la fosse. Ce n'est pas moi qui le ai jetés dans la fange mais eux-mêmes qui s'y sont volontairement précipités à pieds joints, en toute conscience et totale, inaliénable liberté individuelle, citoyenne et même républicaine. C'est également mon droit le plus strict que de mépriser leur comportement et de refuser de contribuer à financer leur redressement : je refuse en effet systématiquement de verser le moindre centime à toute quête visant à sortir de leur trou les drogués repentis.

Bien des drogués ont dû, pour financer leur vice, s'approprier d'office les biens d'autrui... Parfois au moyen de la violence. Dans ces conditions je ne pense pas qu'il soit totalement indécent de ma part de leur refuser toute aide financière... Je ne dis pas que c'est charitable de ma part, mais c'est ainsi.

Est-ce que je vais aller voir les drogués pour leur demander de financer mes voyages aux Caraïbes, moi ? Et quand je me fais plumer par des machines-à-sous au casino, est-ce qu'il me viendrait à l'idée d'aller frapper à la porte du maire de ma ville pour lui demander de quoi renflouer mes finances ?

Si des citoyens responsables et libres de leurs mouvements souhaitent plonger dans l'enfer de la drogue, qu'ils le fassent !

Mais que cela soit à leurs totaux dépens.

Et une fois qu'ils ont fait le choix de se corrompre, s'ils veulent ensuite se redresser, c'est tout à leur honneur et je les encourage vivement dans leur saine démarche de réhabilitation. Mais alors qu'ils le fassent à leurs frais. Je leur laisse le droit de s'auto-détruire physiquement et socialement avec LEUR argent. S'ils veulent se sortir de la drogue, ce sera toujours avec LEUR argent, pas avec le mien.

Je veux dire par là que je respecte la liberté de chacun à condition que les gens libres assument leurs comportements et n'obligent pas les gens honnêtes à financer leurs mauvais choix.

Jamais je n'interdirais qui que ce soit d'agir selon sa conscience tant que son comportement n'attente pas à la liberté ou à l'intégrité d'autrui. Je suis pour la liberté totale des homosexuels de s'embrasser dans la rue. Que l'on me laisse également la liberté d'exprimer publiquement ce que je ressens face à ces baisers de sodomites. Nier ma liberté dans ce cas précis, c'est de la tyrannie pure et simple, ni plus ni moins que de l'intolérance.

Je le répète et je suis de bonne foi : je suis pour la totale liberté de tous les citoyens, homosexuels ou pas, drogués ou non, sobres ou alcooliques.

Et ce que défends par-dessus tout, c'est la liberté de railler.

Quant aux termes VIEUX, VIEILLARD, NEGRE, MONGOLIEN (dont SODOMITE que vous me reprochez d'employer), ils ne sont pas offensants.

Je les emploie sciemment pour bien montrer que je ne me suis pas fait lobotomisé par la pensée molle des eunuques de cette société à la pensée castrée se croyant obligés d'employer le parler "politiquement correct" imposé par les médias.

SODOMITE, VIEILLARD et NEGRES sont d'ailleurs des termes littéraires, donc flatteurs pour ceux que je désigne ainsi.

En revanche j'estime que SENIOR, MAMIE, BLACK, BEUR sont des termes injurieux, hypocrites et à moitié vides de sens car faibles mais surtout ce sont des termes à forte connotation "politiquement correct". Donc des termes à stricte valeur médiatique, inventés par de frileux hypocrites qui ont le souci de ne pas déplaire aux âmes séniles, corrompues ou susceptibles ne supportant pas les termes de la VERITE.

Les termes SENIOR, MAMIE, BLACK, BEUR sont des termes médiatiques atténués, par conséquent mensongers. Ce sont des mots aseptisés qui voudraient faire oublier la ride, cacher la sénilité, adoucir la couleur de peau ou le caractère négroïde de ceux que l'on désigne. Les Noirs ne devraient pas avoir honte de leur négritude, pas plus que les vieux ne devraient singer les jeunes par sentiment d'infériorité ou pour chasser l'image de la mort qui s'approche. C'est exactement le syndrome de Mickael Jackson qui par complexe, infantilisme, par négritude non assumée voulait gommer les apparences de son appartenance à la race noire.

Ces comportement immatures sont indignes d'une société d'adultes.

Dire BLACK, BEUR ou SENIOR procède de cet état d'esprit d'infantilisme et d'hypocrisie. Ces mots édulcorés sont injurieux car il dénaturent les êtres et les choses désignées. En disant BLACK inconsciemment (ou même tout à fait consciemment) on essai d'éclaircir symboliquement la peau des gens. On refuse d'admettre leur négritude aux Noirs. En disant SENIOR on tente de faire reculer l'idée de la mort (dans ce cas ce n'est pas symbolique mais du premier degré), on refuse sottement d'admettre le statut de vieux -impliquant la perte des moyens physiques- aux gens s'approchant de la Camarde. En disant PERSONNE DE PETITE TAILLE puérilement on tente l'impossible, imaginairement : mettre les nains à notre hauteur... C'est odieusement nier leur taille aux petits. Etc.

Je ne marche pas dans la combine.

Les vieux sont des vieux, les Noirs des Noirs, les Arabes des Arabes, les handicapés mentaux des handicapés mentaux, les nains des nains, les beaux esprits comme moi, des beaux esprits.

Et la mort, la mort.

Le reste n'est qu'inepties, absurdités et vent.

Et tant pis pour les moutons qui mâchent bêtement les mots fades et creux bourrés d"édulcorants qu'on leur sert !

Cordialement.

Raphaël Zacharie de IZARRA

JE REPONDAIS A CECI :

Il est dommage que des esprits simples puissent encore s'imaginer que publier des propos racistes ou homophobes puissent ne pas en être simplement par publication d'un démenti. C'est une absurdité à laquelle seuls croient encore les crétins des Alpes (contre lesquels je n'ai rien puisque ce n'est qu'une maladie).

Merci d'en prendre acte.

Je vais donc citer ce que j'ai pu mettre ailleurs :"Que nenni, point d'interdiction d'être heurté par les gestes ostentatoires...encore faut-il, sous peine justement de détruire l'égalité que vous prônez, cher Raphaël, avoir l'honnêteté d'être heurté de la même manière par les gestes ostentatoires des missionnairites, des levrettites et des dervichesbulgarites.

Vous est-il reproché de montrer un amour hétérosexuel sur la voie publique ?

Que nenni.

Le reprocher à des gens dont vous ne partagez pas la sexualité fait montre de la plus basse homophobie qui soit. Contrairement à ce que votre "déclameur" en lettres de sang veut essayer de faire croire, vous refusez à une minorité le simple droit de vivre comme la majorité, démontrant ainsi soit l'insondable profondeur d'une abyssale bêtise, soit la glorieuse hypocrisie de celui qui, refusant d'être jugé, ponctue ses interventions du minable "mais non je l'ai pas dit".

Que dire ?

Consternation devant tant de manque de réflexion, de tolérance, d'ouverture d'esprit, d'empathie...bref, d'intelligence ou de culture. C'est le quatrième article que je lis sur ce blog, et pas un ne s'élève au-dessus de la fange la plus immonde.

Il est heureux pour vos blogs que vous ne soyez pas sodomite, mon cher Raphaël : vos textes en seraient élargis. "

Faut-il citer vos propos homophobes ? Déjà, le seul fait de traiter un "homosexuel masculin" de sodomite revient à traiter de nègre un africain ou de niakoué un asiate...

"Je trouve triste cette exposition en forme d'étendard des pratiques contre nature de leur vie intime."

"Existences sans femme... Vies ternes de mal-être, de malaises, vides, stériles, tronquées, incomplètes, sombres, handicapées, sans relief, ni mystère, ni couleur, ni différence, avec son parfait double masculin pour seul écho dans le coeur : le comble de la misère selon moi."

"ces inversés "

"N'ai-je pas le droit de ressentir du dégoût et de l'exprimer ?"

VOUS ETES HOMOPHOBE. Vous nous démontrez clairement que vous n'êtes ni homophile, ni indifférent.

Et tous vos sophismes n'y changeront rien.

J'ai pitié de vous. Pitié que vous ne soyez pas assez ouvert et tolérant pour accepter l'autre. Si un couple hétérosexuel a le droit de s'afficher dans la rue selon vous, hé bien prétendre empêcher un couple homosexuel de le faire au nom du bon goût ou je ne sais quoi est DE FACTO une prétention homophobe.

Oui, Monsieur, vous avez le droit de ressentir du dégoût et de l'exprimer. Mais, dans ce cas, soyez un grand garçon et assumez-vous. Victor Hugo (mais je doute que vous le connaissiez) n'a-t-il pas écrit dans sa correspondance que la culture était le fait de s'intéresser aux autres et son absence le fait de les juger ?

Vous êtes de la chair dont on fait les études psychiatriques, mon cher. Vous me rappelez cette étude effectuée dans le maine-et-loire entre 1970 et 1990 qui avait prouvé que sur 100 personnes qui se prétendaient opposées à l'homosexualité en 1970, 45 étaient en couple homosexuels en 1990, 48 s'étaient avérés impuissants, le reste n'ayant jamais simplement passé de certificat d'études et étant simplement les idiots du village. Dans quelle catégorie vous placez-vous ?

Quand on déteste l'odeur des toilettes publiques, jusque-là rien de grave, mais quand on y distingue la sexualité de celui qui s'y est assis, c'est une bêtise, mon cher.

Ceci étant, vous m'aurez fait bien rire avec votre dégoût de primaire dégénéré, je ne pensais pas qu'il pouvait subsister des gens qui sont non seulement aussi intolérants, mais en plus suffisamment incultes et stupides pour nier leur intolérance.

Un peu de ce courage que vous prétendez avoir, que diable !

A moins qu'il ait quelques faiblesses à s'élever, tout comme le reste de votre virilité. Un grand garçon comme vous ne devrait point sentir ses érections menacées par quelques gays se promenant dans la rue.

Sur ce, je vous quitte. Discuter plus avant avec un être aussi obtus et fangeux que vous n'aurais aucun sens ; j'aurais au moins fait la preuve pour nos lecteurs qu'il ne suffit pas de nier être homophobe pour ne pas l'être.

Ecrit par : Bob l'éponge
vendredi, 01 octobre 2010

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Bob L'Eponge,

Votre vue me paraît bien basse... Au contraire, tant de courage, de noblesse, de franchise et de lucidité dans mes propos signent ma définitive hauteur.

Ce que vous appelez CONTRADICTION n'est que franchise et tolérance de ma part. Il n'est malheureusement pas donné à tout le monde de faire preuve d'un tel panache !

Certes je suis heurté par les signes ostentatoires de tendresse entre homosexuels, cela n'est pas incompatible avec leur proximité. De la même manière que je suis dégoûté par la vue et l'odeur nauséeuse de certains vieillards grabataires, cela n'est pas incompatible avec le respect que je leur dois par ailleurs.

Etre dégoûté par les moeurs des homosexuels ne signifie pas pour autant être homophobe. Au contraire ce dégoût chez moi me semble très sain. Très sains également sont mes rapports cordiaux avec les homosexuels.

L'homophobie est la haine des homosexuels. Je n'ai aucune haine à leur égard. Etre naturellement dégoûté par les us des sodomites n'est pas être homophobe, de la même manière qu'être dégoûté par les règles des femmes ne signifie pas que l'on est misogyne ou le fait de vomir à la vue de déjections canines sur le trottoir ne signifie pas nécessairement haïr la gent canine. Cela s'applique d'ailleurs aux humains. La répulsion naturelle que l'on peut éprouver à l'égard de la merde des hommes ne signifie pas que l'on déteste l'humanité pour autant.

N'étant pas homosexuel il me semble sain, normal, naturel, dans l'ordre des choses d'éprouver une certaine répulsion face aux manifestations publiques des passions libidineuses entre sodomites. Cela ne fait pas de moi un homophobe pour autant.

Raphaël Zacharie de IZARRA

JE REPONDAIS A CECI :

Encore faut-il mériter le respect. Vous gagnerez peut-être quelque chose lorsque votre prose vous servira à autre chose qu'à nier l'évidente hypocrisie de propos qui ne satisfont que leur auteur.

Vous n'êtes ni pro-homosexuel ni anti-homosexuel, mais les homosexuels vous dégoutent ?

Décidément, la cocasserie et la niaiserie de vos propos m'amuseront toujours.

Allez-y, répondez, amusez la galerie par la profondeur digne des meilleures flaques de vos propos contradictoires ; enfoncez vous dans la fange dont vous vous repaissez tout en lorgnant d'un oeil jaloux vers ceux qui assument leurs opinions...

Il ne suffit pas de s'autoproclamer cultivé pour le devenir. Vous faites partie de ces gens qui à trop vouloir montrer leur esprit ne font que souligner son absence.

Allez, je vous fais une promesse : quitte à doubler la fréquentation de vos articles par ma simple présence, je continuerai de vous lire. Tant de drôlerie, de contresens, de mauvais usages des mots se doivent d'être récompensés.

J'en viens à me demander si vous ne faites pas exprès de passer pour un mongolien afin d'amuser la galerie. Hé bien, si c'est le cas , un petit conseil : vous allez trop loin. Tant de lâcheté et d'aveuglement dans le propos gâchent quelques peu ce qui aurait pu être un magnifique pastiche de la bêtise magnifiquement animale qui corrompt notre société.

Ecrit par : Bob l'éponge
samedi, 02 octobre 2010

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Bob l'Eponge,

Bravo pour cette brillante analyse dupontesque basée sur la plus pure psychanalyse de foire !

A la lumière de votre analyse de psy du dimanche, j'en conclue que Jean-Marie le Pen doit être un sacré bougre refoulé scandaleusement épris de partouzes sémites !

Et les lesbiennes à force de honnir les hommes doivent secrètement les désirer...

Quelle hauteur de vue ! Quelle intelligence de votre part !

Et vous vous croyez percutant, pénétrant en débitant de telles banalités ?

Comme beaucoup de défenseurs d'homosexuels, vous souffrez d'un sentiment de persécution imaginaire. Vous semblez voir des homophobes partout où il n'y a que des gens indifférents, ignorants de la réalité ou simplement qui souhaitent plaisanter sur les homosexuels...

Quant aux conclusions de vos amis basées sur les apparences de ma digne tronche d'aristocrate décomplexé, apprenez que je me me moque parfaitement d'être taxé d'homosexuel.

N'étant pas homophobe je ne prends guère la confusion comme une offense.

Je m'en amuse même.

L'homosexualité étant en outre une réalité d'une ennuyeuse banalité de nos jours, quelle affaire d'être assimilé à un homosexuel !

Mon propos se situe bien au-dessus de ces trivialités temporelles. Pour s'en convaincre, il faut évidemment se situer à la même hauteur que moi. Ce qui est chose manifestement malaisée lorsque le contradicteur semble de mauvaise foi.

Nul ne connaissant les vrais secrets de mon coeur et moi ignorant tout autant les vôtres, ce débat a par conséquent peu de valeur à vos yeux.

Pour débattre en toute honnêteté il faut qu'au préalable les deux interlocuteurs affichent leur indépendance d'esprit (qu'ils se détachent de toute influence médiatique et socio-culturelle) leur bonne santé psychologique et surtout leur grandeur d'âme, ce qui n'est visiblement pas votre cas.

Raphaël Zacharie de IZARRA

JE REPONDAIS A CECI :

Et vous éprouvez le besoin de vous le dire deux fois pour vous en persuader ?

Allez, je me mets à votre niveau !

J'autoproclame que mes interventions contiennent " tant de courage, de noblesse, de franchise et de lucidité ".

Et c'est donc la vérité, puisque moi, je le proclame...

Quelle intéressante conversation !

Trèfle de plaisanterie, comme on dit en Irlande, vous voir tiraillé entre ce dégoût prétendu et vos fantasmes homosexuels qui vous poussent à observer ce qui vous dégoute est un bel exemple de déni de sortie du placard...

Vous rêvez manifestement de cet objetqui vous dégoute à force de vous empêcher de satisfaire les femmes : un braquemart. Passez vous vos rêves mouillés à penser à un puissant phallus qui vous fait rentrer vos écrits (de merde) là d'où ils n'auraient jamais dû sortir ?

J'en profite pour vous remercier, grâce à cette conversation et votre position de faire-valoir perpétuel me font paraître bien plus intelligent aux yeaux de mes amis qui ne cessent de se gausser des réponses absurdes que vous m'adressez....

Ah, j'oubliais : point la peine de répondre, je le fais pour vous : "Moi, RZdI, suis tellement franc, lucide et intelligent que vous pouvez n'avoir que tort, vil bob l'éponge qui ne comprend rien à rien"...

Je me sens las, las, las...

"D'ailleurs, un de mes amis qui regarde vos vidéos en ce moment même me faire remarquer que votre excitation est visible lorsque vous "mettez en scène" l'homosexualité... Sodomite refoulé. Toutes les preuves sont là. Vous êtes un inversé qui le nie publiquement pour mieux pratiquer en privé. Sur ce, en ayant assez d'un débat où visiblement je suis le seul à apporter des arguments, je vous quitte définitivement. Avant que vous ne me déclariez votre désir."

Ecrit par : Bob l'Eponge

samedi, 02 octobre 2010

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Bob l'Eponge,

Votre agressivité est révélatrice d'un réel malaise chez vous par rapport à ceux que vous vous ingéniez à qualifier, pour des raisons qui m'échappent, d'HOMOPHOBES. Votre fixation sur des persécutions imaginaires à l'égard des homosexuels me semble malsaine.

J'ai dit dans mon premier article que je fréquentais assez régulièrement un bar homosexuel au Mans ("L'Arc-en-Ciel", rue Dorée). Connaissez-vous des homophobes discutant cordialement avec des homosexuels, lisant leurs revues et liant de réelles amitiés avec certains d'entre eux ?

Votre malaise est perceptible, vous devriez en faire totalement abstraction dans ce genre de débat censé demeurer cordial.

Nous ne sommes pas ici dans un ring de boxe pour s'injurier mutuellement mais pour débattre avec détachement, intelligence et amabilité d'un sujet de société.

Je ne "traitre" pas les homosexuels d'inversés, je les désigne de manière littéraire, voire neutre. Toujours votre obsession de la persécution... Le terme INVERSE n'a jamais été une injure jusqu'à ce jour. J'ai parfaitement le droit de ne pas employer le terme GAY, un terme complaisant à forte connotation pro-homosexuelle.

Je ne suis ni pro-homosexuel ni anti-homosexuel.

Quant à ma photo c'est bien la mienne et c'est vérifiable : toutes mes coordonnées sont sur chacun de mes profils et je me montre à travers mes multiples vidéos. Je parle toujours à visage découvert, sans aucun pseudonyme. Raphaël Zacharie de IZARRA est mon nom véritable.

Aucun intérêt pour moi de me cacher, surtout lorsque je dis des choses qui dérangent les hypocrites.

Pour le reste, vous manquez cruellement de cet esprit chevaleresque qui me caractérise si joliment, ce qui ôte fatalement à vos répliques l'humanité, la hauteur et la bienséance que produisent toujours les marques de respect que l'on adresse à son adversaire.

Raphaël Zacharie de IZARRA

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Bob l'Eponge,

J'ai même mis en scène certains aspects touchants de l'homosexualité masculine à travers mes vidéos :

PRETRE HOMOSEXUEL :

http://www.dailymotion.com/video/x91gyd_pretre-homosexuel_creation

ABBE HOMOSEXUEL :

http://www.dailymotion.com/video/x95yg5_abbe-homosexuel_creation

Raphaël Zacharie de IZARRA