Dans notre société où règne l'auto censure, où le discours édulcoré -pour ne pas dire hypocrite- est la norme, où le dictact des minorités fait autorité, où les idées tièdes plaisent mieux que les brûlures rédemptrices de la vérité, il n'est jamais bien vu d'avouer être heurté face à certains acquis socio-culturels, surtout dans le domaine de l'homosexualité.
J'ai toujours été affligé, offensé, choqué à la vue des couples de sodomites se prenant la main dans la rue.
Je trouve triste cette exposition en forme d'étendard des pratiques contre nature de leur vie intime. La moindre des décences seraient de faire preuve de discrétion dans le cadre de leur homosexualité assumée. Je ne reproche pas à ces hommes d'être homosexuels -puisque c'est soit dans leurs gênes, soit c'est leur choix sexuel et même parfois purement culturel- mais de publiquement afficher leur impudeur en ne tenant pas compte des sensibilités réelles.
Car les délicats comme moi existent.
Certes je suis extra minoritaire dans mon allergie aux manifestations publiques des passions sodomites. Hé bien justement, n'est-ce pas la mode dans cette république que de donner la priorité à quelques minorités quant à la reconnaissance de leurs moeurs, voire à la création de nouvelles lois défendant leurs intérêts, au détriment de la liberté de vomir des autres ? Je ne suis pas opposé à la protection des homosexuels dans la société de la part du législateur, à condition que celle-ci ne lèse pas les âmes sensibles.
A l'heure où l'on voudrait interdire l'étalage de certaines convictions religieuses sur la voie publique à travers la stigmatisation du port du voile islamique, pour aller toujours plus dans le sens du courant général le citoyen de base devrait se sentir républicainement obligé de tolérer la démonstration des amours sodomites sur cette même voie publique ? En effet, l'Etat soucieux de flatter les masses embarquées dans les modes homophiles et islamophobes semble se faire complice du courant dominant... Etrange plaidoyer étatique envers certaines minorités... On me rétorquera que la religion est affaire strictement privée qui ne devrait pas déborder sur le champ laïc. Il me semble que les secrets d'alcôve des homosexuels sont également une chose parfaitement confidentielle, non ?
En revanche chez les couples hommes-femmes la tradition sociale française basée sur l'hétérosexualité, mais encore le bon goût, et tout simplement le sens ordonné de la nature, légitiment glorieusement, joyeusement et sainement l'expression innée, ostentatoire, apologique de leur union. Mais revenons à nos bougres.
Existences sans femme... Vies ternes de mal-être, de malaises, vides, stériles, tronquées, incomplètes, sombres, handicapées, sans relief, ni mystère, ni couleur, ni différence, avec son parfait double masculin pour seul écho dans le coeur : le comble de la misère selon moi.
C'est ainsi que je perçois leur situation, simplement et sainement. Je ne dis pas que ce que je ressens est nécessairement une réalité chez eux ni même que j'ai raison de les plaindre puisqu'ils ne sont point malheureux. Je dis que je ressens ainsi les choses. Et que peut-être bien des gens ordinaires -que certains esprits hyper conditionnés par l'époque appelleront le plus sérieusement du monde des "arriérés"- ressentent également. Sauf qu'eux ne le diront jamais ouvertement.
Je sais pertinemment que ces inversés ne déplorent pas leur sort puisqu'ils ne le jugent que depuis leur point de vue borné. Ils ne regrettent aucunement d'être nés homosexuels et me regardent peut-être avec ce même sentiment de consternation que la vue de leur viril hyménée m'inspire.
Comme d'habitude de fanatiques défenseurs de la cause homosexuelle vont sottement assimiler mon propos à de l'homophobie, de l'intolérance... Et même à du fascisme ! N'ai-je pas le droit de ressentir du dégoût et de l'exprimer ? Ceux qui mesquinement seraient tentés de me reprocher cette prétendue homophobie devraient au contraire avoir la grandeur d'âme de louer non seulement mon courage mais également ma très grande honnêteté. Peu de gens osent se démarquer aussi nettement du discours ambiant, la plupart adoptant une attitude beaucoup plus lâche... Ils se persuadent d'être de "gentils citoyens tolérants", en réalité ils ne font que subir la pression majoritaire, craignant trop de déplaire en faisant le choix de résister héroïquement à l'air du temps.
Je fréquente un bar homosexuel près de chez moi car les boissons y sont moins chères qu'ailleurs et l'ambiance plutôt agréable. Ce qui ne m'interdit en aucune façon d'écrire cet article.
Quant aux lesbiennes je ne vois rien de sinistre dans leur état ni de choquant dans leur ostentation notoire, la femme ayant des élégances et pudeurs naturelles qui depuis toujours inspirent indulgence, souplesse et même compréhension. En outre leurs ressources affectives et psychologiques étant plus riches et profondes que celles des sodomites, je ne les plains pas.
PRECISION DE L'AUTEUR
Je n'ai pas fait l'apologie de la répression des sodomites ici mais l'apologie de l'égalité des minorités et des majorités quant à la tolérance de la société à leur égard.
Je ne suis pas pour l'intolérance envers les homosexuels mais pour le même traitement de faveur de la part de la société envers ses citoyens,envers TOUS ses citoyens.
Je ne déplore pas la liberté excessive accordée aux homosexuels et à leurs lobbies, je déplore seulement cette absence de mansuétude en ce qui concerne les non-homosexuels.
J'ai toujours été pour le respect de la liberté des individus. Liberté des sodomites, liberté des porteuses de voile islamique mais également liberté des esthètes de railler sodomites, curés, islam, femmes, enfants, chiens...
Railler ne signifie pas vouloir tuer la liberté de ceux que l'on raille, railler signifie simplement pouvoir "chanter en société". Je suis pour les différences, voire pour quelques naturelles inégalités.
PRECISION DE L'AUTEUR
Je n'ai pas fait l'apologie de la répression des sodomites ici mais l'apologie de l'égalité des minorités et des majorités quant à la tolérance de la société à leur égard.
Je ne suis pas pour l'intolérance envers les homosexuels mais pour le même traitement de faveur de la part de la société envers ses citoyens,envers TOUS ses citoyens.
Je ne déplore pas la liberté excessive accordée aux homosexuels et à leurs lobbies, je déplore seulement cette absence de mansuétude en ce qui concerne les non-homosexuels.
J'ai toujours été pour le respect de la liberté des individus. Liberté des sodomites, liberté des porteuses de voile islamique mais également liberté des esthètes de railler sodomites, curés, islam, femmes, enfants, chiens...
Railler ne signifie pas vouloir tuer la liberté de ceux que l'on raille, railler signifie simplement pouvoir "chanter en société". Je suis pour les différences, voire pour quelques naturelles inégalités.
quelle caricature d'enculé à sec ! et grippe-sou avec ça, ah ah ah, impayable suffisance...
RépondreSupprimerNiki,
RépondreSupprimerEst-il interdit d'être heurté par les gestes ostentatoires des amours sodomites manifestés sur la voie publique ?
A-t-on encore le droit d'avoir des préférences hétérosexuelles et de l'exprimer haut et fort dans cette société saturée par les intérêts et voix des minorités au détriment des majorités conservatrices réduites au silence, si ce n'est franchement exclues, voire méprisées ?
Raphaël Zacharie de IZARRA
Que nenni, point d'interdiction d'être heurté par les gestes ostentatoires...encore faut-il, sous peine justement de détruire l'égalité que vous prônez, cher Raphaël, avoir l'honnêteté d'être heurté de la même manière par les gestes ostentatoires des missionnairites, des levrettites et des dervichesbulgarites.
RépondreSupprimerVous est-il reproché de montrer un amour hétérosexuel sur la voie publique ?
Que nenni.
Le reprocher à des gens dont vous ne partagez pas la sexualité fait montre de la plus basse homophobie qui soit. Contrairement à ce que votre "déclameur" en lettres de sang veut essayer de faire croire, vous refusez à une minorité le simple droit de vivre comme la majorité, démontrant ainsi soit l'insondable profondeur d'une abyssale bêtise, soit la glorieuse hypocrisie de celui qui, refusant d'être jugé, ponctue ses interventions du minable "mais non je l'ai pas dit".
Que dire ?
Consternation devant tant de manque de réflexion, de tolérance, d'ouverture d'esprit, d'empathie...bref, d'intelligence ou de culture. C'est le quatrième article que je lis sur ce blog, et pas un ne s'élève au-dessus de la fange la plus immonde.
Il est heureux pour vos blogs que vous ne soyez pas sodomite, mon cher Raphaël : vos textes en seraient élargis.